#ChallengeAZ… Ecrits de Poilus…

Mon arbre rend hommage à ses Poilus :

-Raymond ACHON (1874-1931)
Jean-Marie MOURET (1887-1966)
René Jacques ACHON (1897-1918)
-Eugène Dominique ACHON (1874-1915)
-Léon Achille FOUQUES (1880-1914)

Certains sont morts, d’autres sont revenus blessés…

Les échanges épistolaires avec leurs familles sont très émouvants et montrent une autre facette de la Première Guerre Mondiale.

Sources :
Chaîne YouTube Musique : Les lettres-Maxime LE FORESTIER 
Image gratuite : Clé de Sol – Pixabay.com

#ChallengeAZ… Dégénérations…

Dans mon arbre, mes arrière-arrière grands-pères étaient manouvriers, berger et tailleur d’habits ; mes arrière grands-pères étaient manouvriers, maçon, carrier ou mineur ; mes grands-pères étaient manouvrier ou journalier et mon père était ouvrier.

Mes arrière-arrière grands-mères, mes arrière grands-mères, mes grands-mères ont eu entre trois et treize enfants et ma mère n’a eu qu’une enfant !

Et moi, je chante et je danse en mémoire de ces ancêtres !
M’accompagnez-vous ?

Sources :
Chaîne YouTube Musique : Mes Aïeux – Dégénérations / Les Disques Victoire (2004) © Mes Aïeux inc. Extrait de l’album « En famille 
Image gratuite : Clé de sol – Pixabay.com 

#MaCuisineAncestrale… La tarte à la bière…

La 6eme édition du #ChallengeAZ, initié par Sophie Boudarel du blog La Gazette des Ancêtres, a débuté le 1er novembre. Ce rendez-vous est devenu incontournable pour les généalogistes et les archivistes et nous sommes de plus en plus nombreux à y participer.
Aussi, #MaCuisineAncestrale pense à tous les participants et leur dédicace cette recette venue du Nord… une recette qui allie force et douceur, un vrai stimulant pour les neurones !

Pour mémoire, la bière est la plus ancienne boisson alcoolisée connue au monde et la plus consommée (avec modération) après l’eau et le thé.
C’est une boisson obtenue par fermentation alcoolique d’un moût de produits végétaux amylacés tels que l’orge, le maïs, le riz (saké), la banane, le manioc…
L’histoire de la bière est intimement liée à celle de ses ingrédients. Les premières cultures de céréales, notamment de l’orge et de l’épeautre, ont été attestées en 8000 avant Jésus-Christ en Mésopotamie. Tous les ingrédients étant disponibles dès cette époque, la bière pouvait donc exister et l’on estime son invention/découverte à 6000 ans avant J.C.
Cependant, les preuves formelles de son existence, découvertes dans la province de Sumer, remontent au IVe millénaire avant J.C.
Des recherches archéologiques ont pu démontrer que les Provençaux brassaient déjà leur bière au Ve siècle avant J.C.
(Source Wikipédia)

Pour réaliser la tarte, il faut :
Pâte
200 g de farine
100 g de beurre ramolli mais non fondu
50 g de sucre glace
1 jaune d’œuf
1 pincée de sel
(Pour les pressés ou les paresseux : utiliser une pâte brisée)
Garniture :
150 g de vergeoise

3 œufs
25 cl de bière ambrée
2 cuillère à soupe de crème fraîche
50 g de beurre + 20 g pour le moule

Mélanger tous les éléments de la pâte sans trop la travailler, la mettre en boule, l’emballer dans un papier film et la mettre au frais 1 heure,
Remettre la pâte à température ambiante durant 20 minutes,
Étaler au rouleau et la piquer avec les dents d’une fourchette, puis la retourner (piqûres en dessous) dans un moule beurré,
Remettre au frais 20 minutes.
Chauffer le four sur 210°C (th 7),
Verser uniformément la vergeoise sur le fond de tarte et enfourner 10 minutes,
Battre les œufs entiers avec la bière, ajouter la crème et bien mélanger,
Retirer le moule du four, y verser le mélange (œufs, bière, crème) et parsemer de petits morceaux de beurre,
Ré-enfourner 30 à 40 minutes jusqu’à ce que le dessus de la tarte soit bien dorée,
Servir juste tiède.

Amis challengers, faites-vous plaisir… ce dessert vous donnera du cœur à l’ouvrage pour tenir jusqu’à la fin novembre.

Et d’ici notre notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est déjà fait !

 

Sources :
Wikipédia.fr
Image : Collection personnelle
Recette : Desserts du Nord- Editions Ouest-France

#ChallengeAZ… Chanson des Archives…

Pour nourrir mon arbre, je recherche la substantifique moelle dans les centres d’archives.

Ce sont des endroits studieux où règnent l’ordre et le silence. Tous les généalogistes le savent, n’est-ce-pas !

Mais, dès que les portes se ferment… d’étranges événements se passent comme ci-dessous aux Archives départementales du Nord.

Afin de ne pas heurter les âmes sensibles, je vous recommande de lire l’avertissement au début de la vidéo…

Moralité : Les recherches d’archives historiques et généalogiques sont des exercices sérieux mais, que nous pouvons accomplir dans la joie et la bonne humeur ?

Sources :
Chaîne YouTube Musique : La Chanson des archives – La patrouille des castors (Compagnie La Roulotte Ruche)
Image gratuite : Clé de sol – Pixabay.com

#ChallengeAZ…Bro gozh ma zadoù…

 

Hier, nous avons fait connaissance avec le papa du papa… de mon papa Depèche (toute ressemblance avec des personnes ayant existé est fortuite et involontaire)

Aujourd’hui, nous partons sur la terre de mes vrais pères… ceux qui ont participé, en partie, à la croissance de mon arbre ?
Je vous ai parlé d’eux, Ici et

Le Bro gozh ma zadoù, traduisez par « Vieux pays de mes pères » est un chant en langue bretonne. Bien que ne disposant d’aucun statut officiel, il est souvent présenté comme l’hymne de la Bretagne depuis 1898 (Source Wikipédia).

Frissonnerez-vous comme moi en écoutant ce chant !

 

 

 

 

Sources :
Wikipédia.fr
Chaîne YouTube Musique – Bro gozh ma zadoù – Alan Stivell -Tri Yann – Gilles Servat – Soldat Louis – Louis Cappart – etc
Image gratuite : Clé de sol – pixabay.com

 

#ChallengeAZ… Auprès de mon arbre…

Auprès de mon arbre, je vivais, je vis et je vivrai heureuse !
Puisqu’il est l’emblème de mon Eternité !

Pour débuter ce #ChallengeAZ, j’ai utilisé le titre de la chanson de Georges BRASSENS comme subterfuge (j’ai le droit… c’est moi qui écris…) pour vous présenter un cas d’étude généalogique surprenant.

Toutefois, mon arbre ? servira de fil rouge tout au long du #ChallengeAZ.

Mais, revenons à mon sujet… C’est une drôle d’histoire ou une histoire drôle ! A vous d’en juger !

Voilà une histoire désopilante… Je n’ai pas réussi à établir la filiation des Depèche… Et pourtant, j’ai cherché sur Généanet et Filaé… pour mieux comprendre cette famille, c’est ICI.

 

Sources :
Chaîne YouTube Musique : Le papa du papa Boby LAPOINTE
Image gratuite : clé de sol – pixabay.com

#MaCuisineAncestrale… Le Mesturet…

Dans le calendrier républicain, le 13 Vendémiaire (4 octobre) était officiellement le jour dédié au potiron…

Donc, en ce 4 octobre, je déclare la « potironnade » ouverte… Et d’un coup de baguette magique, nous partons dans le Sud-Ouest et plus particulièrement dans le Tarn où les grands-mères confectionnent un gâteau à base de potiron et de farine de maïs : Le Mesturet, un cousin du Milhassou.


A l’origine, ce gâteau qui ressemblait plus à un gratin, ne comportait ni œuf, ni beurre ; uniquement du potiron, de la farine et du sucre.
Bien sûr, chaque village avait sa propre recette et en revendiquait la légitimité.

Le terme « mesturet » désignait également, en Languedoc et et en Gascogne, un petit pain  de maïs échaudé dans l’eau bouillante, puis cuit au four dans une feuille de chou. (Dictionnaire du monde rural – Marcel LACHIVER).

Pour réaliser ce gâteau pour 8 personnes, il faut :
1 plat rectangulaire de 3 cm de haut maximum,
1,5 kg de potiron,
300 g de farine de maïs (ou de blé ou les deux)
300 g de sucre,
5 œufs,
10 g de sel,
1 zeste d’orange et 1 zeste de citron,
1 petit verre de rhum,
100 g de beurre.

Couper le potiron en dés et le faire fondre lentement dans une casserole dans un doigt d’eau.
Remuer et saler.
Quand le potiron est cuit, ajouter la farine, le sucre, les zestes d’orange et de citron râpés, les œufs bien battus et le rhum.
Bien mélanger.
Beurrer généreusement un moule et fariner
Verser la pâte et mettre le tout au four thermostat 4/ 5 à 130°C (environ 1 h 30 de cuisson.)
Au bout de la première demi-heure, passer au pinceau du beurre fondu sur la surface du gâteau pour obtenir une croûte molle et très colorée.

On peut également confectionner des petites galettes avec cette préparation et les faire rissoler à la poêle.

Je ne sais pas pour vous… moi, j’aime les jours de fête où l’on apprécie ces petites choses de la vie, simples comme un gâteau.
Et d’ici notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est déjà fait !

 

Chers lecteurs,
Le 22 septembre dernier, Ciel ! Mes aïeux a soufflé 6 bougies !
Et vous êtes 5045 abonnés, à ce jour…
Je suis émerveillée par l’idée que partout dans le monde des personnes lisent mes petits billets et sans doute les apprécient.
Je n’imaginais pas ce petit succès en créant ce blog.
Je vous adresse tous mes remerciements pour votre attention !

 

Sources :
Recette : www.tourisme.tarn.com
Carte de France – Géoportail.gouv.fr
Images : Collection personnelle

#MaCuisineAncestrale… Le Poirat…

Septembre nous incite encore à l’évasion… Suivez-moi, nous partons visiter le Berry – terre de croyances et de traditions populaires.
Et bien que je ne possède aucune attache familiale dans cette région, j’aime m’y promener !

Portail du Berry – Wikipedia.fr

Autrefois, le Berry connaissait une économie rurale assez pauvre, mais cette province a su développer une gastronomie variée et de caractère grâce à la richesse de son environnement (étangs, forêts giboyeuses, champs de céréales et élevage, vignes)… La tradition y était enracinée et il se pourrait que quelques grands-mères mettent encore la pâte à lever sous l’édredon pour confectionner leurs beugnons (beignets) 🙂

Un des desserts emblématiques de cette région est le poirat, une tourte aux poires au goût épicé puisqu’on y ajoute du poivre.

Pour la réaliser, il faut :
Pâte brisée :
300 g de farine
120 g de beurre ramolli
165 ml d’eau
1 cuillère à café de sel

7 à 9 poires
Poivre blanc
2 à 3 cuillères d’eau-de-vie (facultatif)
Tapioca (facultatif)
Un œuf

Dans un saladier, verser la farine et le sel,
Ajouter le beurre coupé en morceaux,
Verser l’eau petit à petit tout en mélangeant le tout,
Pétrir jusqu’à obtenir une boule de pâte,
Placer le pâton dans le réfrigérateur pendant une heure minimum.

Peler les poires, enlever le cœur,
Couper en lamelles grossières et irrégulières,
Verser dans un saladier,
Ajouter le poivre à votre convenance, (j’ai mis 3 tours de moulin)
Si les poires sont peu sucrées, ajouter du sucre en poudre,
Verser l’eau-de-vie (j’ai choisi de l’alcool de poire)
Mélanger le tout,
Placer au frais.

Au bout d’une heure :
Préchauffer le four à 180°,
Prélever les deux tiers de la pâte,
Étaler finement sur un plan fariné,
Placer le disque obtenu dans un moule beurré,
Si les poires sont juteuses, verser du tapioca en pluie sur le fond de tarte,
Ajouter les poires marinées,
Étaler le reste de pâte,
Déposer le couvercle sur la préparation, découper à la taille du moule,
Couper la partie extérieure de la pâte du dessous en laissant un bon centimètre,
Rabattre le bord sur le couvercle,
Badigeonner avec un jaune d’œuf battu,
Faire un trou dans le couvercle au centre de la tarte,
Cuire entre 45 minutes et une heure selon votre four, en surveillant de temps à autre.
Servir tiède.

Selon les recettes, on peut ajouter de la crème fleurette par la petite cheminée à la sortie du four.

Il parait que Georges SAND, écrivaine de la région, raffolait de ce dessert.
Comme cette illustre passionnée, saurez-vous apprécier cette tourte qui allie force et douceur ?

Et en attendant notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est déjà fait !

 

 

Sources :
www.berry-tradition.com
www.babelio.com/auteur/George-Sand
Dictionnaire gourmand des desserts de nos régions – Editions Atlas
Images : Collection personnelle

 

 

 

 

 

C’est la rentrée…

Oui, c’est la rentrée et il est temps de reprendre les bonnes habitudes… Alors, voici un petit billet sans prétention où je souhaite partager une façon rapide de travailler mon arbre généalogique.

Depuis quelques mois, je participe sur les réseaux sociaux, au challenge #1J1Ancetre –  #1J1Collateral initié par @CLG Formation, le but étant de célébrer un anniversaire (naissance, mariage, décès ou autre) chaque jour.
J’apprécie cette initiative et cette manière d’honorer nos ancêtres.

Chaque matin, je consulte mon logiciel de généalogie (Hérédis) pour trouver mon ancêtre ou mon collatéral du jour.
Puis, je rédige un petit message, par exemple :

En amont, je vérifie mes données :
– Je contrôle que je possède bien tous les actes concernant l’ancêtre et sa famille. Si ce n’est pas le cas, je consulte les correspondances sur Généanet ou Filaé avec l’espoir de trouver la date manquante. Si je trouve le renseignement, je me connecte sur le site des archives départementales concernées pour capturer l’acte.
– Si mon aïeul a eu plusieurs enfants, je relève les données des enfants manquants et je complète la fratrie.
– Je relis les actes saisis pour corriger les erreurs éventuelles.
– Je note ou modifie les sources si cela n’est pas fait.

J’ignore si les participants à #1J1Ancetre – #1J1Collateral font de même, mais ce travail quotidien me permet ainsi de rectifier, de compléter et d’enrichir mon arbre sans prendre trop de temps.

Et vous, quelle est votre méthode rapide pour enrichir votre arbre ?

 

Images : Collection personnelle : Horloge astronomique de Prague