Cette année, Côté blog : j’ai très peu écrit sur mes ancêtres, mais n’allez pas croire que j’ai mis la généalogie de côté… Que nenni !
J’ai, également, édité la recette mensuelle devenue incontournable de #MaCuisineAncestrale.
Côté Recherches : J’ai enrichi mon arbre. Mon logiciel généalogique comptait 595 ancêtres directs et 1667 individus à fin 2017.
Fin 2018, le compteur indique 648 ancêtres directs et 1828 individus.
Ma participation au challenge #1J1Ancetre #1J1Collateral y est pour quelque chose.
J’ai, également, étoffé l’arbre de Monsieur, celui de mon Gendre et j’ai fais des recherches sur les ancêtres de mon Beau-père (second époux de la Maman de Monsieur) qui nous a quitté début 2018.
J’ai participé au #Genealogie30 et au #ChallengeAZ initiés par Sophie Boudarel :
– #Genealogie30 s’est déroulé sur les réseaux sociaux et j’ai aimé relever le défi, même si je me suis dévoilée un peu plus que dans mes billets.
– #ChallengeAZ : cette année, j’ai chanté ! Et j’ai l’impression que cela ne vous a pas déplu… ?
Pour 2019, je ne prends aucune résolution que je ne saurai tenir ! Je veux continuer à me faire plaisir et à vous régaler tout simplement !
En attendant, je vous souhaite une très belle année 2019 !
Je n’ai pas trouvé de chanson avec la lettre Y concernant mon arbre ?
Mais, cela n’a aucune importance parce qu’aujourd’hui, il Y a d’la joie dans l’air : joie du devoir accompli, joie de la participation et joie du partage… je suis
happY… ?
ET VOUS ?
Sources : YouTube Musique VEVO : Happy – Pharrell Williams Image gratuite : Clé de sol – Pixabay.com
Pour nourrir mon arbre, je recherche la substantifique moelle dans les centres d’archives.
Ce sont des endroits studieux où règnent l’ordre et le silence. Tous les généalogistes le savent, n’est-ce-pas !
Mais, dès que les portes se ferment… d’étranges événements se passent comme ci-dessous aux Archives départementales du Nord.
Afin de ne pas heurter les âmes sensibles, je vous recommande de lire l’avertissement au début de la vidéo…
Moralité : Les recherches d’archives historiques et généalogiques sont des exercices sérieux mais, que nous pouvons accomplir dans la joie et la bonne humeur ?
Sources : Chaîne YouTube Musique : La Chanson des archives – La patrouille des castors (Compagnie La Roulotte Ruche)
Image gratuite : Clé de sol – Pixabay.com
Auprès de mon arbre, je vivais, je vis et je vivrai heureuse !
Puisqu’il est l’emblème de mon Eternité !
Pour débuter ce #ChallengeAZ, j’ai utilisé le titre de la chanson de Georges BRASSENS comme subterfuge (j’ai le droit… c’est moi qui écris…) pour vous présenter un cas d’étude généalogique surprenant.
Toutefois, mon arbre ? servira de fil rouge tout au long du #ChallengeAZ.
Mais, revenons à mon sujet… C’est une drôle d’histoire ou une histoire drôle ! A vous d’en juger !
Voilà une histoire désopilante… Je n’ai pas réussi à établir la filiation des Depèche… Et pourtant, j’ai cherché sur Généanet et Filaé… pour mieux comprendre cette famille, c’est ICI.
Sources : Chaîne YouTube Musique : Le papa du papa Boby LAPOINTE
Image gratuite : clé de sol – pixabay.com
Cuisiner demande du temps… Pas toujours ! En mars, #MaCuisineAncestrale vous propose une recette « vite fait, bien fait » !
En effet, en béarnais, « bist-heyt » signifie littéralement « vite fait », dixit le dictionnaire.
Ce dessert est une préparation qui par définition ne demande pas beaucoup de temps pour sa réalisation ce qui ne retire rien à sa saveur.
Ailleurs, on désigne ce dessert par « tôt-fait » et il en existe autant que de régions.
Déjà au XIXe siècle, la Comtesse de Ségur faisait allusion à ces gâteaux dans ses échanges épistolaires :
A la vicomtesse Emile de Pitray Les Nouettes, lundi dix heures, octobre 1862. « Chère Petite, je t’envoie, ne sachant pas si tu pourrais venir, des manuscrits que Gaston m’avait laissés pour toi et que j’ai toujours oublié de te remettre ; plus du raisin, des tôt-faits et des biscuits pour les enfants, qui leur avaient été préparés hier. Je te remercie de la tanche que tu m’as envoyée, elle était excellente ; je l’achève ce matin à déjeuner… »
Ingrédients (4 personnes) 60 g sucre semoule 1/2 cuillère à café de vanille en poudre 60 g farine 3 œufs 4 cuillères à soupe de lait 20 g beurre
Mélanger le sucre, la vanille et la farine dans une jatte, Dans une seconde jatte, casser les œufs et les battre à la fourchette, Ajouter au mélange précédent, Mélanger jusqu’à obtenir une consistance homogène, Ajouter le lait en évitant les grumeaux, Beurrer un plat à gratin et verser la pâte, Cuire dans un four chauffé à 200° pendant 20 minutes, Le gâteau doit être boursouflé à la sortie du four Déguster aussitôt !
Et ne vous fiez pas à son allure négligée, ce dessert minute se savoure aussi vite qu’il a été préparé. Alors d’ici, notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est déjà fait!
Sources : Dictionnaire gourmand des desserts de nos régions Photo : Collection personnelle Wiktionnaire : https://fr.wiktionary.org/wiki/tôt_fai
Dans mon précédent billet, à lire ici, je vous raconte mes premières découvertes concernant ma filiation avec les FOUANT DE LA TOMBELLE.
Dans ce second billet, je poursuis avec la génération précédente et je m’interroge.
Zoom sur le huitième degré :
Pour rappel : (2°) Antoine FOUANT est mon Sosa 740 que l’on trouve au 9e degré.
D’après la généalogie établie par D’Hozier, Guillaume FOUANT serait donc son père, marié à Adélaïde PILON en 1651.
Première énigme : la filiation mentionnée dans l’acte de mariage d’Antoine est Joan F(O)UAN (°ca1625 +21 avril 1681) x Marie BERTON (+25 mai 1672)
Joan et Guillaume sont-ils une seule et même personne ?
A-t-il épousé Marie BERTON en secondes noces ?
J’ai la certitude que Joan a contracté un autre mariage avec Françoise PAUSSET, sa dernière épouse, en 1673, après le décès de Marie.
Sur le site Généanet, certains cousins généalogiques ont enregistré Joan comme frère de Guillaume. Où ont-ils trouvé cette information ?
D’après d’Hozier, Félix FOUANT, au 7e degré, n’a eu qu’un fils, Guillaume.
Seconde énigme : Dans le billet précédent, je fais allusion à Françoise GARON, première épouse de Jean FOUAN (fils d’Antoine), Sosa 370, décédée par suites de blessures comme l’atteste son acte de décès :
Le 24 avril 1710 Françoise Garon aagée de vingt et un an femme de Jean Foüan fermier à Autremencourt après avoir reçu tous ses sacrements en présence de son mary parents et amis est morte peu de jours après les blessures qu’elle a reçu de N… elle est enterrée au cimetière.
D’Hozier renseigne comme premier fils de Guillaume, un certain N… Fouant.
Coïncidence ou pas… Qui est ce mystérieux personnage ? Est-il l’individu qui a mortellement frappé Françoise ?
Si les liens avec les FOUANT DE LA TOMBELLE semblent avérés puisque je retrouve les mêmes individus.
Pour ma part, beaucoup d’interrogations planent sur l’histoire de cette famille, d’autant que personne ne peut confirmer la véracité de la généalogie établie par Mr d’Hozier. Quelle frustration !
L’histoire débute par un simple clic sur la nouvelle interface de recherches proposée par Généanet : « Comparer mon arbre »
Le site indique un cousinage potentiel avec le MaréchalDE LATTRE DE TASSIGNY.
Cette révélation m’interpelle car tous mes ancêtres paternels jusqu’à Joan FOÜAN (orthographe relevée dans les actes) sont des petites gens, des invisibles.
Une rapide recherche sur l’ascendance du Maréchal démontre le contraire.
Les FOUANT possèdent une particule et pour certains se nomment FOUANTDE LA TOMBELLE . D’ailleurs, tous les arbres en ligne sur Généanet indiquent qu’ils furent écuyer, officier, gentilhomme… Mais cela reste à prouver !
Ainsi, une branche de mon arbre serait issue de la noblesse picarde ! Il n’en faut pas plus pour titiller la Miss Marple qui veille en moi !
Celle-ci fut en partie rédigée par René-Charles d’HOZIER de SERIGNY (°1640+1732), juge d’armes de France et généalogiste et ensuite, confirmée par son frère, Charles d’HOZIER.
Le document comprend 23 vues et provient de la Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l’homme, 4-LM3-4260.
L’introduction explique l’origine du patronyme ; s’en suit une généalogie à partir du premier FOUANT qui fut réellement connu.
Il s’agit de Marc FOUANT, écuyer qui épousa Françoise DE NEUVILLE, le 20 mars 1478 et de ses descendants jusqu’à la quatorzième génération (début XIX ème siècle) ; s’y trouve également un arbre généalogique et des pièces explicatives.
Cependant, des titres authentiques attestent l’existence du nom depuis le début du treizième siècle, dixit Mr d’Hozier.
L’analyse du document confirme que Mr d’Hozier a établi une généalogie agnatique (lignée par les hommes).
Si ses écrits étayent mes propres découvertes, il semble que certains renseignements soient manquants ou erronés, à moins que ce soit moi qui me fourvoie.
Néanmoins, la monographie confirme que je descends bien de cette lignée car je découvre des ancêtres communs au huitième et au neuvième degré et confirme le cousinage potentiel avec le Maréchal De Lattre de Tassigny (cela aurait plu à Papa)
Les registres paroissiaux en ligne avant 1668 n’existant pas à Autremencourt et à Plomion, villages d’où sont originaires mes FOUAN, je ne peux pas corroborer l’exactitude des données du premier au septième degré (année 1478 à 1668)
Les degrés dix à quatorze concernent les ancêtres directs du Maréchal de Lattre de Tassigny.
Gros plan sur le neuvième degré, mes Sosa 740 et 741 (G.10) :
J’apprends qu’Antoine fut écuyer et que Suzanne eut un ancêtre, Simon de MARLY, gouverneur de Guise qui fut surnommé « Bras de vie » à cause de sa bravoure.
Par contre, Suzanne ne fut pas la fille, mais la petite fille d’Antoine de MARLY ; son père Pierre de MARLY étant décédé à son mariage. Le-dit mariage eut lieu entre le 18 novembre et le 31 décembre 1681 (le jour et le mois n’étant pas indiqué sur l’acte)
Après le décès d’Antoine, le 6 mars 1693, Suzanne se remaria avec Simon DEMAY, le 14 janvier 1698. Elle décéda le 29 juillet 1708.
Concernant les enfants du couple :
– Jean °8 novembre 1682 à Autremencourt (Aisne) +14 octobre 1728 à Plomion est mon Sosa 370. Les actes paroissiaux indiquent qu’il fut fermier.
Il se maria deux fois. Sa première épouse Françoise GARON mourut des suites de blessures à l’âge de 23 ans (je vous en parlerai plus tard). De ce mariage, naquit Jean-Jacques (°1707)
Sa seconde épouse, Antoinette POILVE, est mon Sosa 371.
De leur union, en 1711, naquirent quatre enfants :
– Marie (°1712 +1712)
– François (°1713)
– Marie-Anne (°1716 +1753), mon Sosa 185
– Angélique (°1718 +1722)
Mais, je n’ai pas trouvé Nicolas renseigné par d’Hozier.
– Antoine (°1691+1759) fut l’ancêtre du Maréchal De Lattre de Tassigny et concerne le 10 ème degré :
– Marguerite (°1685) renseignée comme étant décédée en 1686, épousa le 27 juin 1707, Jacques LECLERC.
Dans le prochain billet, il sera question des surprises énigmatiques trouvées au huitième degré.
A suivre…