#MaCuisineAncestrale… Les crapés…

Pour célébrer Mardi-Gras, vous hésitez entre crêpes et beignets… Ma Cuisine Ancestrale a la réponse à votre dilemme.

Partons pour le Pays Horloger, un territoire sauvage et secret, niché au coeur du parc régional du Haut Doubs, aux portes de la Suisse.
Cette région est riche d’un patrimoine remarquable, qu’il soit agricole (berceau de la vache montbéliarde, du cheval comtois et des fruitières à comté), architectural (ferme à tuyé) ou technologique (horlogerie).
Saviez vous que le savoir-faire horloger ancré en Pays Horloger depuis le XVIIIe siècle est inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO.

Dans ces contrées montagneuses, la vie est parfois difficile, surtout lorsque l’hiver pointe le bout de son nez.
Pourtant, la cuisine offre des trésors réconfortants, à l’image des délicieux « crapés » aux pommes, une spécialité locale irrésistible.
Parfaits pour un goûter savoureux, ils éveillent les papilles et réchauffent les cœurs.

Pour réaliser une quinzaine de crapés :

Création personnelle CANVA
Collection personnelle

Ces crêpes épaisses se déclinent dans plusieurs régions, chacune ayant sa propre appellation.
Il est également possible de les réaliser en version salée en y ajoutant, par exemple, des pommes de terre râpées.

Je vous souhaite un joyeux Mardi-gras et d’ici notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est déjà fait !

Sources :
Recette des crapés : pays-horloger.com
Photos : collection personnelle

#MaCuisineAncestrale… Cake aux amandes et au miel…

Février célèbre l’Amour… Le 14 février est traditionnellement le jour où les gens qui s’aiment, se témoignent leur attachement par de petites attentions.

Des origines païennes aux vitrines étincelantes des magasins, la saint Valentin a traversé les âges avec un flair digne d’un romancier à succès, tout en restant fidèle à sa délicieuse tradition.
Mais Valentin, un prêtre romain qui vivait au IIIe siècle, pouvait il imaginer que sa bienveillance envers les amoureux (il les mariait secrètement… cela lui valut son emprisonnement et son exécution) se transformerait en une sorte de concours de popularité et que les cœurs en chocolat et les bouquets de roses se livreraient une bataille acharnée pour attirer l’attention des consommateurs, chacun essayant de prouver qu’il est le véritable champion du cœur !

Bien sûr, quoi qu’elle dise, Ma Cuisine Ancestrale attend une attention de son Valentin. Pour le remercier, elle lui offre un délicieux gâteau mariant le doux nectar des abeilles à la délicate texture des amandes, créant ainsi un mélange irrésistible et réconfortant, un clin d’œil aux gâteaux de la Rome antique et à Valentin, son prêtre martyrisé.

Création CANVA

Les petits cadeaux réalisés avec le coeur sont précieux…
Alors, faisons plaisir à nos familles, nos amis, notre entourage… nos Valentin et Valentine en leur offrant ce cake moelleux et fondant !

Bonne fête de Saint Valentin !

Sources :
Recette : Le monde de Sophie
Images : collection personnelle

#MaCuisineAncestrale… Les cannelés…

Direction le sud-ouest pour Ma Cuisine Ancestrale qui s’interroge…
Quel est le lien entre un couvent de religieuses, l’industrie viticole et les
Antilles ?
L’histoire des cannelés, le péché mignon bordelais et de sa région, bien sûr !

Le cannelé (en occitan canelat) est un petit gâteau en forme de cylindre cannelé, à pâte molle et tendre, parfumé avec du rhum et de la vanille, et cuit dans un moule initialement en cuivre, qui lui donne une fine croûte caramélisée.

On raconte que les cannelés ont été créés par les religieuses du couvent des Annonciades qu’elles distribuaient aux pauvres ou qu’elles vendaient pour financer leurs œuvres jusqu’en 1791.

Longtemps utilisée par les châteaux, la technique du collage (filtrage du vin en cuve) nécessitait du blanc d’œuf monté en neige. Les jaunes, inutiles dans le procédé de vinification, étaient donnés aux sœurs pour confectionner des gâteaux et notamment le cannelé.

Outre les ingrédients principaux (lait, farine, œufs), la vanille, le rhum et le sucre de canne rappellent l’histoire de l’activité portuaire de Bordeaux avec les colonies.

Tombés dans l’oubli après la Révolution, les cannelés réapparurent au 19e siècle ; leur succès n’est plus démenti depuis.

Initialement écrit « cannelé », le mot « canelé » émerge officiellement en 1985, lors de la création d’une confrérie du canelé qui supprime un “n” de façon à affirmer son identité.

Côté cuisine :
Pour réaliser une quinzaine de cannelés traditionnels

Création personnelle CANVA

Que le ciel me pardonne, avec un « n » ou deux, ces petits gâteaux sont un délicieux péché…
Alors, d’ici notre prochain rendez-vous, succomberez vous également ?


Sources :
Origine et histoire du canelé : La toque cuivrée – Wikipédia
Recette : La toque cuivrée
Images : collection personnelle

#Geneatheme… L’hiver !

Pour bien démarrer cette année généalogique, nous vous proposons d’écrire autour de la thématique de l’hiver. Ce thème est vaste, vous pouvez le décliner de différentes manières :
La vie quotidienne de vos ancêtres en hiver :
Vous avez peut-être la la chance d’avoir des témoignages sur les activités hivernales, les vêtements d’ancêtres proches… Vous pouvez également évoquer les fêtes hivernales, régionales ou autres.
Les grands hivers dans l’histoire :
Vos aïeux ont-il vécu un “grand hiver” ayant marqué l’histoire ? Peut-être pouvez-vous en trouver trace dans les journaux pour les événements les plus récents ?
Ça c’est passé un hiver :
Vous pouvez bien entendu préférer nous raconter un événement qui s’est déroulé en hiver : mariage, décès ou autre.

Le « grand hiver » de 1709 a marqué l’une des périodes les plus éprouvantes de l’histoire de nos ancêtres.
Alors, que Louis XIV était en guerre pour la succession de l’Espagne, une vague de froid intense a frappé l’Europe, touchant particulièrement la France.

Ce froid extrême (jusqu’à -20°) a dévasté les vignes, les cultures et les vergers, provoquant la mort de nombreux animaux et humains, gelant les mers et les rivières, fendant les cloches des églises et entrainant une des plus sévères famines, suivie d’épidémies.
On a enregistré en France 2 141 000 décès contre 1 330 800 naissances, soit une perte de 810 000 personnes représentant 3,5 % de la population entre 1709 et 1710.(Source Wikipédia)

Dans l’Aisne et dans mon arbre généalogique, mon aïeule, Anne HUILLE (Sosa 723) meurt en ce mois de janvier 1709 à Laon. Elle décède le 15 janvier à l’âge de 76 ans chez sa fille, Barbe et son gendre, Pierre CARLIER et est inhumée le 16.
Est-ce le froid qui l’a emportée, l’Histoire ne nous le dit pas.

Mais, le « grand hiver » a marqué les esprits puisque Mr DUPONT, clerc de la paroisse de Vaux a laissé son témoignage sur la même page, une première partie en haut de la page et une seconde partie en bas de la page.

L’année de ce présent registre a été un sy grand hyver que
les bleds ont étés gelées généralement; et l’orge a valu
aux semences jusqu’à 9 livres le quartel, mesure
de Laon ; il est véritable qu’il n’y a pas eu de bled du
tout.

L’année de ce présent registre L’année a été stérille en bled et en vin
par tout universel ; l’hyver a été si rude que les bleds onts étés
gelée d’un verglas qui a durer presque trois semaines sur toutes
sortes de choses imaginable ; dont la plus grande partie des noyers
sont mort ; l’orge a valu au mois de mars jusque à 9 lt. 9lt 10cs
le quartel mesure de Laon. Dupont clerc de Vaux

Le pauvre homme se répète, mais il est évident que ce qu’il a vécu l’a profondément marqué.

Sources :
A.D Aisne LAON 5Mi0072 – 1690 1710 Vue 175/182
Wikipédia – La grande famine de 1709

Jeu, set et bonne année !

Pour bien débuter 2025, je ne vous propose pas le traditionnel bilan annuel… mais un quiz sur mes articles 2024 ! C’est le moment de voir si vous avez vraiment suivi mes aventures littéraires ou pas !

Alors, préparez vous à (re)plonger dans l’univers fascinant de mes textes généalogiques et culinaires, et n’hésitez pas à partager votre enthousiasme, même si vous avez oublié tout ce que j’ai écrit 😜

Etes- vous prêts, c’est parti pour 10 questions :

1- A combien de #ChallengeAZ, Ciel ! Mes aïeux a t-il participé ?
2- Quels était le second métier exercé par mon double généalogique ?
3- Quelle était la nationalité de Monsieur CRUCER, un boulanger établit à Port-Louis ?
4-Qu’est-ce qu’un galichon ?
5-Où est décédé le pape Pie VI, le 29/08/1799 ?
6-Quel est le patronyme des trois enfants de Jeanne LE SAULNIER ?
7-Si Charles a tout perdu, quel gâteau avons-nous gagné ?
8-Dans le Périgord, comment nomme t’on une jeune fille coquette qui prend un air nonchalant ?
9- Autrefois, comment appelait on le 29 février ?
10-
Question subsidiaire pour départager les éventuels exæquos :
Combien Ciel ! Mes aïeux a t’il reçu de visiteurs en 2024 : 11 700 ou
12 900 ?

Je prépare une surprise pour les trois premiers participants qui laisseront les bonnes réponses en commentaire.
Alors, partagez vos résultats! Qui sait, vous pourriez être l’un des heureux gagnants !

Je publierai les solutions dans une semaine ! Jeu, set et bonne chance !…

Source : Image par Garaz de Pixabay

Chose promise, chose due ! Le grand moment du verdict est enfin là, mes amis ! Voici les réponses à notre jeu :

1-Ciel ! Mes aïeux a participé à huit #ChallengeAZ
2-Mon double généalogique était journaliste
3-Monsieur CRUCER était suisse
4-Un galichon est soit la première ou la dernière crêpe, généralement ratée
5-Le Pape Pie VI est décédé à Valence dans la Drôme
6-Le patronyme des enfants de Jeanne LE SAULNIER est JEANNE
7-Nous avons gagné un gâteau nommé le Téméraire
8-On l’appelle une flaugnarde
9-Le 29 février était appelé « bissestre »
10- Question subsidiaire : Ciel ! Mes aïeux a reçu 12900 visiteurs en 2024

Et la palme revient à Martine de Chronique familiale, notre championne du quiz, qui est la seule à avoir joué le jeu !

Bravo à elle… des applaudissements s’il vous plaît !
Je lui remettrai son cadeau lors de notre prochaine rencontre.
Qui sait, peut-être un galichon ! 😜

#MaCuisineAncestrale… Le gibassier…

En décembre, Ma Cuisine Ancestrale se prépare à célébrer les fêtes de Noël en Provence.
Et devinez quoi ? Ce n’est pas un, mais treize desserts qui égayeront la
table !
Parmi eux, on trouve le gibassier ou gibassié, « un gâteau à jour », une sorte de galette sèche incisée à ne pas confondre avec la pompe à huile, sa cousine plus moelleuse.

Cette coutume séculaire symbolise le partage et l’abondance pendant les fêtes. Le gibassier représente le pain, élément essentiel de la table provençale.
Sa forme ovale évoque l’auréole du Christ, tandis que ses incisions rappellent les épis de blé.

C’est Lourmarin, un village niché au coeur du Luberon, qui revendique la paternité de ce biscuit composé de farine, de sucre et d’huile d’olive, agrémenté de graines d’anis vert, d’eau de fleur d’oranger, ou encore de zestes d’oranges ou de citrons (non traités).

Son origine viendrait de sa forme légèrement bombée sur le dessus en référence à son nom qui vient du provençal « giba » signifiant « bosse ».
La gibassière était aussi la sacoche que les bergers et les chasseurs emmenaient et dans laquelle ils transportaient cet en-cas rustique.

Création CANVA
Collection personnelle

Accompagné d’un bon vin cuit, d’un café ou d’un thé, le gibassier est le mets parfait pour clôturer un repas de réveillon.
Sa présence sur la table festive perpétue un délicieux héritage culinaire, transmis de génération en génération dans toute la Provence.

C’est avec cette savoureuse recette que l’année s’achève pour Ma Cuisine Ancestrale. Je vous adresse mes vœux les plus chaleureux et vous souhaite un…

Création Canva

Sources :
Images : collection personnelle
Origine et recette : Provenceweb et luberon.fr

ChallengeAZ… Zut, c’est la fin !

Ici, la vieille malle,
Aujourd’hui, je suis mi-fière, mi-chagrine !

Chers amis,

Ca y est, nous sommes enfin arrivés à la fin du ChallengeAZ ! Oui, vous avez bien entendu, nous avons réussi à passer de A à Z sans perdre notre esprit (enfin, à peu près) !

Qui aurait cru que cette aventure serait un mélange de CSI : Ancien Temps et de jeu de société où le but est de ne pas perdre la tête ?
Chaque lettre a été une aventure : de A pour « Arc au ciel » au Z pour « Zone mortelle ».

N’oublions pas le moment où nous avons tous tenté de déchiffrer ce vieux document écrit dans une langue que même Google Translate a abandonné. Franchement, qui a décidé que nos ancêtres devaient écrire en
hiéroglyphes ? J’ai une théorie : ils voulaient juste nous donner du fil à retordre, un peu comme ce bon vieux « Retour vers le futur »… Sauf que là, il n’y a pas de « retour arrière » !

Alors, levons nos verres (ou nos tasses de café, parce qu’on le mérite) et célébrons notre persévérance. Nous avons peut-être découvert que notre arrière arrière-grand-oncle était en fait un monarque… ou pas.
Mais au moins, nous avons partagé des rires, des larmes, des anecdotes et peut-être même quelques fameux secrets de famille.

Alors, à nos ancêtres, à nos recherches qui nous ont parfois fait tourner en rond, et à notre détermination à ne jamais abandonner, même quand on a failli pleurer sur un acte de naissance illisible !

Bravo à tous, et surtout, n’oubliez pas de garder votre sens de l’humour intact pour les aventures à venir !

Je vais arrêter là mon baragouinage avant que ma propriétaire ne mette la main sur le pot aux roses ! Je vais me faufiler dans mon coin sombre comme une souris effrayée…
Mais avant de disparaître, je me lance dans une danse de la joie, en mode « Merci mes chers fans » pour vos likes, vos commentaires et pour ce mois de folie qui m’a fait sentir comme une rockstar en représentation ! 🕺✨

Sources :
Image : Création CANVA

ChallengeAZ… Yoke of héritage…

Ici, la vieille malle,
Aujourd’hui, je tiens le lien qui relie le passé à l’avenir !…

Le « yoke of heritage », ou le joug de l’héritage, représente le fil ténu qui nous unit à nos ancêtres et à nos descendants.
Mais, c’est bien plus que la simple transmission de biens matériels ; il s’agit d’histoires, de traditions et de valeurs qui nous façonnent et nous guident.

Chaque membre de notre famille a une histoire à raconter. En explorant notre généalogie, nous découvrons des récits de courage et de résilience.
Chaque ancêtre a surmonté des défis qui nous ont permis d’être ici aujourd’hui. Bien que ce poids puisse sembler lourd parfois, il est aussi une source de force et d’inspiration.

Comprendre notre héritage nous aide à apprécier les sacrifices de ceux qui nous ont précédés, cela nous rappelle l’importance de transmettre leurs valeurs et leurs leçons à nos enfants.
En célébrant nos traditions, nous créons des souvenirs qui resteront dans notre famille pour les générations futures.

Dans un monde où les identités peuvent sembler floues, ce « yoke » nous rappelle d’où nous venons. Le lien entre le passé et l’avenir est un privilège.
En portant ce patrimoine, nous renforçons notre identité et construisons un avenir qui honore notre histoire.

En fin de compte, ce joug, loin d’être un fardeau, est un trésor qui nous connecte à notre passé et nous éclaire sur notre chemin à venir.

Sources
Image par Marcelo Russo de Oliveira – Coffee Tips Welcome de Pixabay

ChallengeAZ… Xénophilie…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, j’ouvre mon esprit sur le monde en découvrant des histoires familiales…

Pour découvrir une multitude d’histoires familiales, n’hésitez pas à explorer les blogs consacrés à la généalogie ! C’est comparable à une expédition dans le grenier de vos grands-parents, mais au lieu de tomber sur des objets anciens, vous découvrirez des ancêtres ayant sûrement vécu des récits fascinants.

Pour illustrer leur ouverture sur le monde, imaginez une réunion familiale où tous les ancêtres, venus des quatre coins de la planète, partagent des récits aussi captivants que les intrigues les plus palpitantes d’un soap opéra… un véritable melting-pot culturel !

Certains diront même que ces blogs sont plus accueillants qu’un buffet à volonté — ils offrent la diversité avec une bonne dose de curiosité et d’enthousiasme.

Donc, si vous tombez sur des blogs où les auteurs évoquent des ancêtres ayant fait la danse de la pluie en tongs, réjouissez vous de cette vision d’un monde cosmopolite !

J’adore cette image !

Sources
Image par Khanh Trinh de Pixabay

ChallengeAZ… Wellspring

Ici la vieille malle,
Aujourd’hui, je cherche les sources in English, of course
Ben oui, quand ça m’arrange, je baragouine en anglais !

La généalogie, c’est comme une enquête policière, sauf que les criminels sont souvent de vieux ancêtres qui ont oublié de laisser des indices clairs.
Là où cela devient vraiment croustillant, c’est l’importance des sources. Imaginez que vous essayez de retracer votre arbre généalogique, en vous basant uniquement sur des histoires familiales, comme celle de l’oncle Albert qui jure qu’il est descendant de Charlemagne. D’accord, qui ne voudrait pas avoir un empereur dans sa lignée ?
Mais est-ce que l’oncle Albert a vraiment des preuves ou est-ce qu’il a juste trop regardé des séries historiques ?

Premièrement, il y a les sources primaires, comme les actes de naissance, de mariage et de décès. Ce sont les véritables stars de la généalogie.
Pensez à eux comme aux selfies de vos ancêtres – ils ne mentent pas !
Ces documents sont les preuves irréfutables que votre arrière arrière-grand-père a bien existé et qu’il n’a pas été simplement un personnage d’une légende urbaine.

Ensuite, nous avons les sources secondaires. C’est un peu comme écouter des rumeurs sur le voisin : ça peut être vrai, mais il vaut mieux vérifier.
Les arbres généalogiques d’autres chercheurs, les livres et même les forums en ligne peuvent être aussi fiables qu’un vieux conte de fées raconté par un grand-oncle un peu éméché.
Alors, avant de conclure que vous êtes le cousin éloigné de la Reine d’Angleterre, assurez vous d’avoir fait vos devoirs !

Quant aux témoignages familiaux, certaines histoires transmises de génération en génération sont comme le fromage : certaines sont délicieuses, d’autres… pas tant que ça.
Entre les histoires de guerre de votre grand-père et les exploits de votre grand-mère en cuisine, il est essentiel de distinguer la réalité de la fiction.
Qui sait, peut-être que la légende de votre grand-père qui a combattu un dragon est en réalité une exagération de ses talents de jardinier et de sa lutte contre un lézard.

En résumé, la généalogie sans sources, c’est comme un plat sans épices : ça manque de saveur et de crédibilité.
Alors, munissez vous de vos lunettes de détective, fouillez les archives et n’hésitez pas à mettre la main à la pâte sans oublier d’enregistrer ces sources !

Sources
Image par G.C. de Pixabay