ChallengeAZ… Zut, c’est la fin !

Ici, la veille malle,
Aujourd’hui, je suis mi-fière, mi-chagrine !

Chers amis,

Ca y est, nous sommes enfin arrivés à la fin du ChallengeAZ ! Oui, vous avez bien entendu, nous avons réussi à passer de A à Z sans perdre notre esprit (enfin, à peu près) !

Qui aurait cru que cette aventure serait un mélange de CSI : Ancien Temps et de jeu de société où le but est de ne pas perdre la tête ?
Chaque lettre a été une aventure : de A pour « Arc au ciel » au Z pour « Zone mortelle ».

N’oublions pas le moment où nous avons tous tenté de déchiffrer ce vieux document écrit dans une langue que même Google Translate a abandonné. Franchement, qui a décidé que nos ancêtres devaient écrire en
hiéroglyphes ? J’ai une théorie : ils voulaient juste nous donner du fil à retordre, un peu comme ce bon vieux « Retour vers le futur »… Sauf que là, il n’y a pas de « retour arrière » !

Alors, levons nos verres (ou nos tasses de café, parce qu’on le mérite) et célébrons notre persévérance. Nous avons peut-être découvert que notre arrière arrière-grand-oncle était en fait un monarque… ou pas.
Mais au moins, nous avons partagé des rires, des larmes, des anecdotes et peut-être même quelques fameux secrets de famille.

Alors, à nos ancêtres, à nos recherches qui nous ont parfois fait tourner en rond, et à notre détermination à ne jamais abandonner, même quand on a failli pleurer sur un acte de naissance illisible !

Bravo à tous, et surtout, n’oubliez pas de garder votre sens de l’humour intact pour les aventures à venir !

Je vais m’arrêter là mon baragouinage avant que ma propriétaire ne mette la main sur le pot aux roses ! Je vais me faufiler dans mon coin sombre comme une souris effrayée…
Mais avant de disparaître, je me lance dans une danse de la joie, en mode « Merci mes chers fans » pour vos likes, vos commentaires et pour ce mois de folie qui m’a fait sentir comme une rockstar en représentation ! 🕺✨

Sources :
Image : Création CANVA

ChallengeAZ… Yoke of héritage…

Ici, la vieille malle,
Aujourd’hui, je tiens le lien qui relie le passé à l’avenir !…

Le « yoke of heritage », ou le joug de l’héritage, représente le fil ténu qui nous unit à nos ancêtres et à nos descendants.
Mais, c’est bien plus que la simple transmission de biens matériels ; il s’agit d’histoires, de traditions et de valeurs qui nous façonnent et nous guident.

Chaque membre de notre famille a une histoire à raconter. En explorant notre généalogie, nous découvrons des récits de courage et de résilience.
Chaque ancêtre a surmonté des défis qui nous ont permis d’être ici aujourd’hui. Bien que ce poids puisse sembler lourd parfois, il est aussi une source de force et d’inspiration.

Comprendre notre héritage nous aide à apprécier les sacrifices de ceux qui nous ont précédés, cela nous rappelle l’importance de transmettre leurs valeurs et leurs leçons à nos enfants.
En célébrant nos traditions, nous créons des souvenirs qui resteront dans notre famille pour les générations futures.

Dans un monde où les identités peuvent sembler floues, ce « yoke » nous rappelle d’où nous venons. Le lien entre le passé et l’avenir est un privilège.
En portant ce patrimoine, nous renforçons notre identité et construisons un avenir qui honore notre histoire.

En fin de compte, ce joug, loin d’être un fardeau, est un trésor qui nous connecte à notre passé et nous éclaire sur notre chemin à venir.

Sources
Image par Marcelo Russo de Oliveira – Coffee Tips Welcome de Pixabay

ChallengeAZ… Xénophilie…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, j’ouvre mon esprit sur le monde en découvrant des histoires familiales…

Pour découvrir une multitude d’histoires familiales, n’hésitez pas à explorer les blogs consacrés à la généalogie ! C’est comparable à une expédition dans le grenier de vos grands-parents, mais au lieu de tomber sur des objets anciens, vous découvrirez des ancêtres ayant sûrement vécu des récits fascinants.

Pour illustrer leur ouverture sur le monde, imaginez une réunion familiale où tous les ancêtres, venus des quatre coins de la planète, partagent des récits aussi captivants que les intrigues les plus palpitantes d’un soap opéra… un véritable melting-pot culturel !

Certains diront même que ces blogs sont plus accueillants qu’un buffet à volonté — ils offrent la diversité avec une bonne dose de curiosité et d’enthousiasme.

Donc, si vous tombez sur des blogs où les auteurs évoquent des ancêtres ayant fait la danse de la pluie en tongs, réjouissez vous de cette vision d’un monde cosmopolite !

J’adore cette image !

Sources
Image par Khanh Trinh de Pixabay

ChallengeAZ… Wellspring

Ici la vieille malle,
Aujourd’hui, je cherche les sources in English, of course
Ben oui, quand ça m’arrange, je baragouine en anglais !

La généalogie, c’est comme une enquête policière, sauf que les criminels sont souvent de vieux ancêtres qui ont oublié de laisser des indices clairs.
Là où cela devient vraiment croustillant, c’est l’importance des sources. Imaginez que vous essayez de retracer votre arbre généalogique, en vous basant uniquement sur des histoires familiales, comme celle de l’oncle Albert qui jure qu’il est descendant de Charlemagne. D’accord, qui ne voudrait pas avoir un empereur dans sa lignée ?
Mais est-ce que l’oncle Albert a vraiment des preuves ou est-ce qu’il a juste trop regardé des séries historiques ?

Premièrement, il y a les sources primaires, comme les actes de naissance, de mariage et de décès. Ce sont les véritables stars de la généalogie.
Pensez à eux comme aux selfies de vos ancêtres – ils ne mentent pas !
Ces documents sont les preuves irréfutables que votre arrière arrière-grand-père a bien existé et qu’il n’a pas été simplement un personnage d’une légende urbaine.

Ensuite, nous avons les sources secondaires. C’est un peu comme écouter des rumeurs sur le voisin : ça peut être vrai, mais il vaut mieux vérifier.
Les arbres généalogiques d’autres chercheurs, les livres et même les forums en ligne peuvent être aussi fiables qu’un vieux conte de fées raconté par un grand-oncle un peu éméché.
Alors, avant de conclure que vous êtes le cousin éloigné de la Reine d’Angleterre, assurez vous d’avoir fait vos devoirs !

Quant aux témoignages familiaux, certaines histoires transmises de génération en génération sont comme le fromage : certaines sont délicieuses, d’autres… pas tant que ça.
Entre les histoires de guerre de votre grand-père et les exploits de votre grand-mère en cuisine, il est essentiel de distinguer la réalité de la fiction.
Qui sait, peut-être que la légende de votre grand-père qui a combattu un dragon est en réalité une exagération de ses talents de jardinier et de sa lutte contre un lézard.

En résumé, la généalogie sans sources, c’est comme un plat sans épices : ça manque de saveur et de crédibilité.
Alors, munissez vous de vos lunettes de détective, fouillez les archives et n’hésitez pas à mettre la main à la pâte sans oublier d’enregistrer ces sources !

Sources
Image par G.C. de Pixabay

ChallengeAZ… Veillées…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, je me blottis au coin de l’âtre…

Les veillées d’autrefois occupaient une place centrale dans la culture des populations rurales et urbaines.
Ces rassemblements étaient l’occasion pour les familles et les voisins de se retrouver, de discuter et de transmettre des traditions.

Dans les campagnes, les veillées prenaient souvent place autour de la cheminée, où la chaleur du feu réchauffait non seulement les corps, mais aussi les cœurs.
Les femmes filaient la laine ou cousaient, tandis que les hommes racontaient des histoires, des légendes ou des anecdotes de leur vie. Ces récits, souvent empreints de sagesse populaire, servaient à enseigner les valeurs morales et à transmettre l’histoire.
Les enfants écoutaient et prenaient également part à ces moments en apprenant des chants et des jeux traditionnels.

Les chants et les danses étaient également au rendez-vous, apportant une note de joie et de convivialité. Les veillées étaient une manière de tisser des liens sociaux, de renforcer les solidarités et de favoriser la transmission des savoirs d’une génération à l’autre.

Avec le temps et l’évolution des modes de vie, ces veillées ont progressivement disparu, remplacées par des activités plus individualistes, comme la télévision ou les écrans.
Pourtant, elles restent un symbole fort de la vie d’autrefois et de la richesse des échanges humains.
Aujourd’hui, certaines initiatives tentent de raviver cet esprit de convivialité en organisant des veillées modernes, où l’on redécouvre le goût du partage.

Ainsi, les veillées d’autrefois nous rappellent l’importance de la présence de l’autre. Elles sont un héritage culturel précieux qui mérite d’être préservé !

Sources
Image par Pexels de Pixabay

ChallengeAZ… Uh la la…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, uh, la la… je
suis seule…

Ma propriétaire a eu l’audace de m’abandonner pendant deux jours ! Elle s’est échappée à Courseulles-sur-Mer en Normandie, histoire de « changer d’air », comme elle l’a dit !

Mais franchement, ne pouvait elle pas m’emmener ? Après tout, je rêvais de visiter ces fameuses plages du débarquement !

En Normandie, entre Gray-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer, Juno Beach était le coin de sable réservé aux troupes canadiennes et britanniques lors du débarquement des forces alliées le 6 juin 1944.
Un véritable lieu de mémoire que j’aurais adoré explorer !

Pour éviter de susciter des soupçons chez les Allemands, chaque secteur a reçu un nom de code, tels que Omaha, Utah, Sword, Gold et Juno.
À l’origine, Juno devait s’appeler « Jelly Fish » (méduse), mais cette idée a fait un flop.
On a donc opté pour « Juno », qui était le prénom de l’épouse d’un lieutenant-colonel – parce que, apparemment, c’était plus sérieux.

Le Débarquement en Normandie, le 6 juin 1944, a constitué sans nul doute l’opération militaire la plus complexe jamais orchestrée.

Ce matin-là, sur les 135 000 Alliés qui ont débarqué ou ont été parachutés en Normandie, 14 000 étaient Canadiens, ce qui a fait du Canada, le troisième  pays pourvoyeur de troupes après les États-Unis et la Grande-Bretagne.
Certains ont débarqué sur Juno Beach à l’aube du 6 juin 1944. D’autres habitaient sur la Côte de Nacre et attendaient les Alliés depuis de longs mois.

Premier port libéré, la commune a été le siège d’une intense activité jusqu’à la mise en service du port artificiel d’Arromanches.

Le Centre Juno Beach, unique musée canadien des Plages du Débarquement, raconte l’effort de guerre civil et militaire de toute la population au Canada et sur les différents fronts durant la Seconde Guerre mondiale.

Aujourd’hui, Courseulles-sur-Mer est sans conteste la station balnéaire la plus « branchée » de la Côte de Nacre, avec son port de pêche qui anime la vie locale. Qui pourrait résister à l’appel de la plage centrale, avec sa jetée en bois ?
Et que dire de la digue piétonne de 600 mètres, bordée de ces charmantes petites cabines de plage blanches ? Un vrai parcours de santé…Une promenade qui promet des heures de divertissement…

photo prise de la jetée en bois

Uh la la, j’aurais tant aimé y aller !

Sources :
coeurdenacretourisme.com
Images : collection personnelle

ChallengeAZ… Travaux des champs…

Ici la vieille malle…
Aujourd’hui, je
relève mes manches pour cultiver ma terre !

Les travaux des champs ont toujours occupé une place centrale dans la vie de nos ancêtres, façonnant leurs cultures, leurs sociétés et leur rapport à la nature. Autrefois, l’agriculture était bien plus qu’une simple activité économique ; elle était le fondement même de l’existence.

Au fil des siècles, nos ancêtres ont développé des pratiques agricoles en harmonie avec les cycles de la nature.
Les saisons rythmaient leurs travaux : le printemps était le temps des semailles, l’été consacrait les efforts à l’entretien des cultures, l’automne apportait la récolte, tandis que l’hiver était souvent une période de repos et de préparation pour l’année suivante.
Les méthodes utilisées variaient selon les régions, les climats et les cultures, mais une constante demeurait : l’importance du travail collectif.

Les communautés rurales se réunissaient pour des tâches essentielles : le labourage, la récolte ou même la transformation des produits.
Ces moments de partage renforçaient les liens sociaux et transmettaient des savoirs ancestraux d’une génération à l’autre.
Les rituels et les célébrations liés aux récoltes témoignaient également de leur profonde connexion à la terre.
Les ancêtres croyaient souvent que la fertilité des champs était liée à des forces spirituelles, et ils rendaient hommage aux divinités par des offrandes et des rites.

Par ailleurs, la relation avec la nature était empreinte de respect et de sagesse. Nos ancêtres observaient attentivement les signes du ciel et les comportements des animaux pour anticiper les changements climatiques.
Ils comprenaient l’importance de la biodiversité et pratiquaient souvent une agriculture durable, utilisant des techniques comme la rotation des cultures et l’utilisation d’engrais naturels.

En somme, les travaux des champs vécus par nos ancêtres, témoignent d’une époque où l’homme était intimement lié à son environnement.
Ce rapport à la terre a façonné non seulement leur mode de vie, mais aussi leurs valeurs et leurs traditions, dont nous devrions encore nous inspirer aujourd’hui pour construire un avenir durable.

Finalement, je souris quand j’entends parler d’écologie… Nos ancêtres avaient compris, eux !
Sources
Image par M_wie_Moehre de Pixabay

ChallengeAZ – MaCuisineAncestrale… (Le coeur de) Sainte Catherine…

Ici, la vieille malle…
Chose promise… voici la recette du mois de Ma Cuisine Ancestrale, spécialement concoctée pour les demoiselles de 25 ans et plus qui traînent leur célibat,

comme moi !

J’avoue que j’ai subtilisé à ma propriétaire sa petite fiche Canva et le texte qu’elle avait préparé pour le réécrire à ma façon.
Chut, on garde ça entre nous, d’accord ? Pas de fuites, sinon je vous mets au défi de m’apporter une tarte à l’inspiration !

Sainte Catherine d’Alexandrie est une demoiselle née au 4e siècle ! Elle avait beau être une sainte, elle n’a pas échappé au traditionnel « mariage à la mode ». L’empereur Maxence, qui devait penser que son titre était un bon atout au jeu de l’amour, a tenté sa chance pour l’épouser.
Mais Catherine, pas du genre à se laisser faire, a dit un grand « non merci » et pour cela s’est retrouvée en prison !

Là-bas, on lui a réservé le terrible supplice de l’écartèlement à la roue, un peu comme un mauvais tour de manège. Mais courageuse, Catherine a résisté et la roue s’est brisée. Finalement, le 25 novembre 307, l’empereur, vexé comme un pou, a décidé de lui couper la tête.
Pas très romantique, tout ça !

Sainte Catherine est la marraine des filles à marier et des théologiens en mal de mariages comme si le raisonnement philosophique pouvait vraiment aider à trouver l’âme sœur.
Elle protège également les orateurs, les notaires, les étudiants, les modistes et les couturiers.

Au Moyen Âge, quand une fille de 25 ans était encore célibataire, elle revêtait des chapeaux extravagants ornés de rubans pour aller fleurir la statue de la Sainte.
La prière était subtile :

« Sainte Catherine, aide-moi.
Ne me laisse pas mourir célibataire.
Un mari, sainte Catherine, un bon, sainte Catherine,
mais plutôt un que pas du tout ! »

En Picardie, on fabriquait des gâteaux en forme de cœur pour les célibataires, une délicieuse façon de les encourager à trouver leur prince charmant ou pas.
Dans certaines régions, les hommes pouvaient aussi se tourner vers Sainte Catherine pour dénicher leur promise, comme quoi, le célibat n’est pas une panacée!

À Paris, les Catherinettes s’habillaient pour aller au bal, ornées de chapeaux aux couleurs criardes : le jaune pour la réussite, le vert pour l’espoir, et le tout pour attirer l’attention d’un futur mari, parce que clairement, le bon vieux
« Salut, ça va ? » ne suffisait plus.

Jusqu’aux années 1980, les grandes maisons de couture organisaient des fêtes gigantesques pour fêter les « Catherinettes », avec des cortèges joyeux qui déferlaient dans les rues.
Et la journée se terminait par un bal, où il était possible de croiser l’âme sœur, ou au moins de danser avec quelqu’un qui ne vous écrasait pas les pieds.

Aujourd’hui, la tradition s’est éteinte, mais on a encore les gâteaux !

Alors à vos moules et bonne chance !
Et puis, si ça ne marche pas, au moins, on aura quelques excuses pour s’offrir des sucreries !
Après tout, le vrai « cœur » du problème, c’est de savoir si le gâteau est bon !

Sources :
Images : Collection personnelle
origine sainte Catherine : file:///C:/Users/Evelyne/Downloads/6144957851_1_sainte-catherine.pdf
Recette : YouTube – Aux mille gâteaux

ChallengeAZ… Regrets…

Ici la vieille malle…
Non, rien de rien… Non, je ne regrette rien !
Hum, je fredonne… Et vous avez-vous des regrets généalogiques ?


Plonger dans les méandres de son arbre généalogique, c’est un peu comme ouvrir un vieux coffre poussiéreux rempli de trésors et de boulets, genre votre interlocutrice !
D’un côté, on découvre des ancêtres fascinants qui ont vécu des vies épiques, et de l’autre, on réalise qu’on n’a jamais pris le temps d’écouter les histoires de sa propre famille.

C’est incroyable de se rendre compte que pendant toutes ces années, on aurait pu poser quelques questions à nos grands-parents, plutôt que d’écouter en boucle les histoires de nos séries préférées.
Et maintenant, on regrette de ne pas avoir eu cette conversation sur la grande tante qui aurait traversé le pays à dos de chameau.

Et que dire des archives familiales qui, comme par magie, semblent avoir disparu dans un trou noir.
On se dit que peut-être, juste peut-être, si on avait pris le temps de fouiller un peu plus dans le grenier, on aurait pu découvrir cette lettre écrite par un ancêtre au destin extraordinaire.
Mais non, on a préféré ranger ça au fond de notre esprit, à côté de nos autres « je le ferai un jour ».

Finalement les regrets, c’est un peu comme une tragi-comédie, on rit de l’absurdité de la situation tout en pleurant sur ce que l’on aurait pu savoir.

En conclusion : les regrets nous rappellent l’importance de préserver l’histoire familiale, de partager des récits et de créer des liens intergénérationnels solides !



Sources
Image par Tumisu de Pixabay

ChallengeAZ… Quête des ancêtres…

Ici la vieille malle…
Aujourd’hui, je suis conseillère es-généalogie
pour débutants 😁

La généalogie est un merveilleux passe-temps qui vous promet d’explorer vos racines familiales… et de découvrir que votre arrière-arrière-arrière-grand-mère avait un penchant pour les chapeaux à plumes et les disputes familiales…
Hum… Mais, soyons sérieux un instant : combien d’ancêtres devez vous vraiment chercher à identifier avant de vous retrouver enseveli sous une montagne de noms et de dates ?

Chaque fois que vous remontez d’une génération, vos ancêtres se multiplient comme des champignons après l’orage :
Vos parents ? Deux. Vos grands-parents ? Quatre. Vos arrière-grands-parents ? Huit !
Et si vous continuez comme ça, au bout de dix générations, vous aurez 1 024 ancêtres… Impressionnant, n’est-ce pas !
Si tout le monde se pointe à la réunion de famille, ça devient une soirée plus bruyante qu’un concours de talents à la fête de l’école.

Là où ça se corse, c’est quand on réalise que, dans certaines régions, des ancêtres communs se cachent partout comme des ninjas dans un film d’action.
Avec un peu de chance et un soupçon de consanguinité, vous finirez par découvrir que votre arrière-grand-père et votre arrière-grand-mère étaient en fait cousins… Bienvenue dans la famille !

Alors, combien d’ancêtres devriez vous vraiment essayer de traquer ?
Voici quelques astuces :

-Si vous cherchez simplement à savoir d’où viennent vos cheveux frisés, peut-être que retrouver vos grands-parents fera amplement l’affaire.
Mais, si vous songez à décrocher un contrat pour éditer votre histoire familiale, alors… préparez vous à explorer 10 générations et plus, et à découvrir qu’ il y avait un pirate dans la famille ou du moins quelqu’un qui prétendait l’être.

-Vous avez accès à des archives pleines de trésors généalogiques ou à un ordinateur qui n’arrête pas de planter ? Ça va influencer votre recherche.
Et si les archives sont aussi rares qu’une photo du Yéti, peut-être qu’une quête plus modeste sera plus sage.

– Êtes-vous prêt à plonger avec passion dans des soirées palpitantes à explorer des vieux documents ou préférez vous céder à la tentation d’un marathon de séries sur Netflix ?
Écoutez les battements de votre cœur et laissez le guider vos choix… A moins que vous ne fassiez les deux en même temps !

– Si votre lignée ressemble à un arbre généalogique enchevêtré dans les branches d’un buisson épineux, vous pourriez vouloir vous concentrer sur les branches principales.

En fin de compte, la recherche des ancêtres c’est comme une boite de chocolats, c’est une question de goût.
Si vous appréciez le voyage, ne vous inquiétez pas du nombre. Que vous trouviez un ancêtre qui a été roi ou une grand-tante qui a été championne de tricot, chaque découverte ajoute de la saveur à votre histoire familiale.

Alors, armez vous de courage et plongez dans cette aventure… mais n’oubliez pas d’inviter vos ancêtres au prochain repas de famille ! Ils adorent les chapeaux à plumes.

Sources :
Image par Andreas de Pixabay