#MaCuisineAncestrale… Le Garriguet…

Voyage, voyage… Ma dernière escapade mi-septembre m’a menée aux confins de l’Ariège et de l’Aude. Région ancestrale, elle est chargée d’Histoire mais, elle est aussi réputée pour sa gastronomie, une belle occasion pour rapporter une recette locale.
Cela tombe bien puisqu’il s’agit d’un gâteau cathare dit de voyage !

Mais, qu’est-ce qu’un gâteau de voyage ?
Par définition, c’est un gâteau fait pour les transports, à l’époque où les voyages duraient longtemps et où il était impératif d’avoir des denrées pas trop périssables, pouvant supporter de longs trajets faits à pied, à cheval, en bateau…
Certains gâteaux se conservaient jusqu’à un mois et il en existe autant que de régions.
L’origine de ces pâtisseries est très lointaine puisque les galettes sèches additionnées ou non de miel que les peuples nomades anciens emportaient dans leur migration préfiguraient de gâteaux de voyage.
(Dictionnaire de la gourmandise-Annie Perrier-Robert)

Aujourd’hui, nous voyageons plus vite mais, un gâteau qui tient la route, c’est toujours appréciable et il n’y a pas de mal à se faire plaisir, même assis dans son canapé.

Sans détour, voici la recette :

Composition CANVA

Il paraît que le Garriguet se conserve un mois… Hum… Je n’ai pas eu le temps de le vérifier 😊

En attendant notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est fait !

Sources :
Recette : Audetourisme.com
Images : collection personnelle




#TDFArchives… Les traditions culinaires en Ariège…

En lien avec l’étape du jour de notre célèbre Tour de France, Geneatech propose entre le 26 juin et le 18 juillet, une présentation des archives ou autres ressources en ligne.
Pour relever ce défi, nous prendrons des forces avec les traditions culinaires des départements traversés.

Nous arrivons en Ariège, terre de passion et de courage. Des cathares en passant par les montreurs d’ours, c’est une région chargée d’Histoire et ses traditions culinaires reflètent le caractère de ses habitants… simple et authentique.

Ici, la charcuterie et les confits sont aussi renommés. Autrefois, chaque famille élevait un cochon sans oublier les oies et les canards.

Etes-vous prêts pour mettre les pieds sous la table ?

En souvenir des preux chevaliers tel Gaston Fébus, nous débutons par un apéritif maison, l’hypocras.

Nous continuons le repas avec l’aÏgo bullido ou tourin ariègeois (soupe à base d’œufs) ou une garbure, sans oublier de « faire chabrot ou chabrol »- Cette pratique consiste, quand il reste un fond de soupe, à ajouter dans l’assiette du vin rouge pour diluer ce bouillon puis de porter le plat à la bouche, et à l’avaler à grandes goulées.
Nous poursuivons avec les hors-d ‘œuvres : une salade de gésiers, une omelette aux cèpes, la saucisse de foie sèche ou les foies gras.

Mais, voilà, qu’arrivent les plats principaux : l’azinat ou la rouzole (potée aux choux accompagnée de charcuterie, le plat emblématique de l’Ariège), les taillous (« gros morceaux » en patois occitan) et la mounjetado, le cassoulet ariègeois (mongeta signifie haricot en occitan)

L’Ariège est également réputée pour ses fromages : Bamalou, Moulis et Bethmale accompagnés des vins locaux : Minervois, Gaillac, Buzet ou Madiran.

Encore une petite place pour le dessert ?

Que diriez-vous d’une croustade aux pommes ou aux pruneaux et d’un millas.

Quand je vous dis que la cuisine ariègeoise est une cuisine simple et
authentique… Me croyez-vous ?
Fin des agapes… Il nous faut remonter sur notre vélo, le #TDFArchives et le #TDF2021 sont loin d’être achevés.
Bonne route !

En cliquant sur chaque spécialité, vous trouverez leur recette.

Sources :
Herodote.net
Les recettes ariègeoises de ma grand-mère -Raymond ULLAS – Editions CPE
www.ariege.com
archives.azinat.com

Image libre de droit cycliste – Pinterest
Image Mise en avant libre de droit : Claude Alliva de Pixabay

#Challenge AZ… Gentilé…

Mon cabinet de curiosités renferme les gentilés de nos ancêtres… car ma curiosité m’incite toujours à chercher le gentilé d’un lieu.

Pour mémoire : un gentilé désigne les habitants d’un pays, d’une province, d’une région ou d’un lieu par référence à l’endroit où ils habitent ou d’où ils sont originaires.
Il est attesté en France depuis 1752 d’après l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers de Diderot.
Le gentilé d’un seul homme peut être de trois manières et de trois sortes de dénominations

Par exemple : mes ancêtres sont picards, normands, bretons ou occitans. Ils sont aussi axonais, calvadosiens, ornais, finistériens ou ariégeois… Et, cerise sur le gâteau (la gourmandise arrive toujours là où on ne l’attend pas), selon la commune où ils résidaient, ils sont dans l’Aisne :
athissiens = Athies-sous-Laon
brayois = Braye-en-Laonnois
– burellois= Burelles
chermizyacois = Chermizy-Ailles
gizysiens ou gizyacois = Gizy
grandlupois = Grandlup-et-Fay
moussyacois = Moussy-Verneuil
vendressois = Vendresse-Beaulne

Dans le Calvados :
brettevillais = Bretteville-sur-Laize
cintheauxiens = Cintheaux
clécyens = Clécy
pommerais = La Pomme
laiziens = Laize-la-Ville
mayens = May-sur-Orne
saint-rémois = Saint-Rémy-sur-Orne
vasdastins = Saint-Waast-sur-Seulles

Dans l’Orne :
flériens = Flers
carneillais = La Carneille
landigulfiens = Landigou
auvraisiens = La Forêt-d’Auvray
georgiens = Saint-Georges-des-Groseillers
pétruviens = Saint-Pierre-du-Regard
Saint-Hono-Guillaumins = Sainte-Honorine-La-Guillaume

Dans le Finistère :
plouganistes = Plougasnou
ignaciens = Plouigneau
plouégatais = Plouégat-Moysan
garlannais = Garlan

En Ariège :
ruxéens = Rieux-de-Pelleport
loubénois = Loubens

Si certains gentilés sont évidents, d’autres sont vraiment improbables…
Et, bizarrement, toutes les communes n’ont pas de gentilé comme Gercy, Samoussy, Eppes dans l’Aisne.

Et vous, connaissez-vous les gentilés de votre généalogie ?



Sources :
Wikipédia.fr
Le nom des habitants des communes de France –
https://www.habitants.fr/index.php
Image : L’Eveil de la Haute-Loire


#ChallengeAZ… Jeunes années….

La chanson du jour sied bien au Sosa 13 de mon arbre…

Née à Rieux-de-Pelleport (Ariège) le 07 décembre 1845, Marie Suzanne TOURRE a émigré avec ses parents à Blida en Algérie pensant y trouver une vie meilleure.

A la mort de ces derniers, elle a épousé en 1874, Victor Emile BERTHAULT, Sosa 12 et normand, venu effectuer son service militaire.

Puis, ils sont rentrés s’installer dans le Calvados, à Saint-Rémy-sur-Orne où ils ont eu six enfants.

Marie Suzanne repose dans le cimetière de St-Rémy, depuis le 29 novembre 1908.

Pensait-elle à ses jeunes années dans les Pyrénées.

Sources :
YouTube Musique : Chanson Française : Charles TRENET – Mes jeunes années
Image gratuite : Clé de sol – Pixabay.com

#MaCuisineAncestrale : Le milhassou…

Quand l’Automne, abrégeant les jours qu’elle dévore,
Éteint leurs soirs de flamme et glace leur aurore,
Quand Novembre de brume inonde le ciel bleu,
Que le bois tourbillonne et qu’il neige des feuilles,
Ô ma muse ! en mon âme alors tu te recueilles,
Comme un enfant transi qui s’approche du feu…
(Victor Hugo, Novembre…)

Oui, l’automne s’est installé… et dans la cuisine, les cucurbitacées s’invitent à nos tables.
Voilà une plante potagère magique… Une fée n’a t-elle pas transformé l’une d’elle en carrosse… D’accord, Cendrillon n’habite pas ici…
Cependant, d’un coup de cuillère en bois, je peux vous donner la recette merveilleuse du milhassou au potiron !

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Dans le Sud-Ouest et depuis le Moyen-Age, les Millas désignent une grande quantité de termes qui révèlent une multitude de recettes.
Millas vient de millet, graine utilisée avant que ne lui succède le maïs venu d’Amérique.
En occitan, le maïs prend souvent le nom du millet : milh, d’où le milhas ou milhade.
Le millas est également appelé millassou, milhassou ou millasson.
Les Millas se dégustent salé ou sucré mais le terme millassou s’applique de préférence aux versions sucrées.
De nos jours, encore, on déguste ce gâteau à la clôture de la fête du cochon qui coïncide avec la récolte des potirons et autres citrouilles.

Pour 8 personnes
Préparation : 30 mn – Cuisson : 15 mn + 45 mn

500 g de chair de potiron ou de citrouille
80 g de beurre –
200 g de farine de maïs –
150 g de sucre en poudre –
5 œufs –
50 cl de lait –
5 cl de rhum ou d’armagnac (déconseillé si vous confectionnez ce gâteau pour des enfants)
zestes de 2 oranges bio râpés ou extrait de vanille
une pincée de sel

Préparer la purée de potiron en le débarrassant de la peau, graines et filandres
Couper la chair en morceaux et mettre à cuire 15 mn environ avec 20 cl d’eau
Lorsque la chair est tendre, égoutter et passer au moulin à légumes dans un grand saladier
Faire ramollir le beurre
Ajouter la farine de maïs à la purée de potiron, mélanger
Verser le sucre, le beurre ramolli, les œufs un par un, la pincée de sel
Mélanger à chaque opération
Ajouter le lait, le rhum (facultatif) et les zestes d’oranges bio ou l’extrait de vanille.
Mélanger une dernière fois
Verser la pâte dans un moule beurré
Enfourner dans le four chauffé à 180°
Cuire pendant 45 mn
Saupoudrer avec du sucre glace
Déguster tiède ou froid.

Petites variantes : Ajouter plus ou moins de sucre – Apporter d’autres parfums : Armagnac, eau de fleur d’oranger, etc… – Ajouter des pruneaux ou des raisins secs.

En prime, je vous confie un petit secret : Pour les réfractaires aux cucurbitacées, j’en connais… Voilà un moyen de leur en faire manger sans qu’ils ne s’en aperçoivent. On ne décèle pas le goût du potiron dans ce dessert.
Je vous ai prévenu, c’est magique !

En attendant notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est fait.

Sources : Wikipédia.org
Inspirée par le Petit Larousse des Saveurs des Régions de France

Images : Collection personnelle

#ChallengeAZ… T comme Jeanne, Baptiste et Magdelaine TOURRE…

L’Ariège est une terre sauvage où juin voit fleurir de délicates fleurs endémiques de la région, tels le lys et l’orchidée des Pyrénées…
Elles racontent, à qui sait écouter, la vie des gens d’ici…

Mon Sosa 26, Dominique TOURRE, cultivateur et son épouse,
Suzanne PERIE sont nés et se sont mariés, le 13 février 1825 à Rieux de Pelleport avant de s’expatrier en Algérie

Neuf enfants naîtront de leur union, dont trois en juin.
Le hasard a voulu qu’ils voient le jour à la même date,  à quelques années d’intervalle :
Jeanne, le mardi 27 juin 1826
Baptiste, le dimanche 28 juin 1829, il décède le mardi 28 septembre 1830
Magdelaine, le lundi 27 juin 1831.

 

Sources :
A.D Ariège – Rieux-de-Pelleport – 4E2967 [An XI-1864] P.175, 193, 207

#ChallengeAZ… E comme Echaudés…

Notre voyage continue et avec la lettre E… Je vous propose une recette ancestrale de la cuisine occitane remontant au Moyen Age.

Les échaudés sont des biscuits qui doivent leur nom au fait qu’ils sont plongés dans l’eau bouillante avant d’être cuits dans un four.
Ce mode de cuisson a la particularité de faire éclater les grains d’amidon contenu dans le gluten, ce qui rend les gâteaux plus digestes et leur permet de se conserver longtemps.
Selon leur terroir, ils sont parfumés avec de l’eau de fleur d’oranger ou avec des graines d’anis. Et ils sont modelés soit en anneaux, soit en tricorne.

Les échaudés sont mentionnés dans une charte de l’Eglise catholique en 1202.
Saint-Louis qui avait interdit aux boulangers de travailler le dimanche et les jours de fête, les autorisait à cuire des échaudés, ces jours-là, pour les pauvres.
La légende raconte que le bon roi aurait emporté des échaudés lors de ses croisades.
Par ailleurs, les pèlerins empruntant les chemins de Saint Jacques de Compostelle se réconfortaient en dégustant des échaudés.

Alors, gentes dames et preux chevaliers, une dégustation d’échaudés vous plairait-elle?

Ingrédients pour 30 échaudés : 500 g de farine – 100 g de sucre Un sachet de levure – 2 œufs – 10 cl de crème liquide – 2 cuillère à soupe d’huile d’olive – Eau de fleur d’oranger ou 10 g graines d’anis – Une pincée de sel – Un jaune d’œuf –

Dans une jatte, mélangez la farine, le sucre, la levure, le sel (et/ou graines d’anis)
Formez une fontaine et ajoutez l’huile, les œufs et la crème (et/ou eau de fleur d’oranger)
Mélangez le tout afin d’obtenir une boule de pâte homogène.
*Etalez la pâte sur 1/2 cm d’épaisseur
*Coupez la pâte en plusieurs cercles à l’aide d’un verre
*Replier les cercles en trois bords égaux vers le centre pour former des petits tricornes.
Recommencez l’opération(*)  jusqu’à épuisement de la pâte
Faites bouillir de l’eau dans une grande casserole.
Plongez les échaudés dans l’eau bouillante jusqu’à ce qu’ils remontent à la surface.
Egouttez les et dorez les avec le jaune d’œuf
Enfournez sur une plaque de cuisson pendant 30 mn Th. 180/200°

 

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Sources : Wikipédia – Histoire de la vie privée des françois, volume 2, P. 294/295 – Pierre J.B. Le Grand Bussy, Laurent Beaupré – 1815
http://deguster.blog.tourisme-aveyron.com/recettes/
Photos : Collection personnelle

 

 

 

 

#ChallengeAZ… A comme de l’Ariège à l’Algérie…

Quitter sa terre natale pour s’installer sur d’autres rivages… Commencer une vie nouvelle et espérer qu’elle soit meilleure…
Telle fut l’épopée, pleine de promesses, proposée à des dizaines de milliers de français au XIXe siècle pour peupler l’Algérie, après sa conquête en 1830.
Parmi eux, se trouvaient mes ancêtres ariègeois.

Difficile d’imaginer un changement de vie plus radical :

 

Marseille… Le port…  La Méditerranée… Du jamais vu !

 

Embarquer et naviguer vers l’Afrique de Nord… L’inconnu !

 

Scruter l’horizon, le cœur battant,  pour apercevoir la côte… Et soudain, découvrir l’Algérie !

        

Débarquer à Alger… Le soleil brûle la peau… La chaleur ralentit les gestes… La lumière éblouit…  Mais tous les sens sont en éveil…

Des parfums inconnus divulguent leurs effluves envoûtants : le jasmin, la fleur d’oranger, les bougainvillées et les jacarandas…

 

S’enivrer, observer…  mais, ne pas s’attarder… Saisir son maigre bagage et continuer la route…

 

Direction le sud-ouest… Encore 50 km à parcourir… La notion du temps s’évapore !

 

Quelques heures sous le soleil écrasant… Avant d’arriver à destination… Et enfin, découvrir Blida…  !

Est-ce ainsi que Dominique Tourré & Suzanne Périé, mes arrières-arrières grands-parents, cultivateurs, quittant Rieux de Pelleport en Ariège ont découvert l’Algérie ?

Dominique et Suzanne se sont mariés à Rieux de Pelleport le 13 février 1825. Leurs enfants sont nés dans cette commune.
J’ignore la date de leur arrivée à Blida et combien de temps, ils y ont vécu…
Suzanne est décédée le 13 décembre 1857 à 56 ans  et Dominique le 15 février 1858 à 60 ans à l’hôpital militaire.

Leurs enfants sont restés à Blida, s’y sont mariés et y ont vécu assurant ainsi une descendance dans cette ville.

Leur fille, Marie Suzanne y a épousé mon arrière grand-père maternel, Victor Emile Berthault… avant de refaire le trajet à l’envers pour aller vivre en Normandie, la région natale de Victor Emile !
(voir articles : Une épine généalogique)

Voici pour mon histoire familiale… encore incomplète !
Pour la grande Histoire,

*Les troupes françaises occupent Blida en 1839, neuf ans après la conquête de l’Algérie en 1830 et après de nombreuses tentatives d’occupation. Ils bâtissent de nombreuses casernes militaires, ce qui explique que Blida est devenue une ville garnison de l’armée française pendant toute la durée de la colonisation…
Détruite par le séisme de 1825, Blida a été reconstruite par les français selon un plan d’urbanisation moderne (rues à angle droit et maisons basses).
Aux portes de la ville, trois villages de colonisation sont créés : Joinville et Montpensier en 1843 et Dalmatie en 1848.
En 1848, elle est érigée en municipalité.

Sources : *Wikipédia.org/Blida
Image : Blida – l’Eglise catholique – Gallica – BNF

#Généathème : Une épine généalogique… Episode 3 : L’épine est extraite….

Il y a deux jours, j’écrivais un petit billet sur l’état d’avancement de mes recherches concernant l’acte de mariage de mes arrières grands-parents maternels :

                                         Victor Emile Berthault & Marie Suzanne Tourré

Voir les articles :
1°   https://www.ciel-mes-aieux.com/?p=53
                                      
2°   https://www.ciel-mes-aieux.com/?p=38

Ce soir, grâce à +Elise Aupres de nos Racines  et à +Philippe Durut,  l’extraction de mon épine a été fulgurante… et indolore !
Je les remercie du fond du cœur…

L’entraide généalogique est une belle histoire… J’en suis toute émue… chamboulée…

Ainsi, j’ai le plaisir de vous informer que :                      
              
              Victor Emile & Marie Suzanne se sont unis à Blida en Algérie le 4 juillet 1874.

 
 

J’ai consulté plusieurs fois le site des ANOM en ligne, mais selon les critères de recherche, la réponse est négative (un oubli dans la numérisation ?)

Grâce au commentaire d’Elise, et en moins de cinq minutes, j’ai effectué une nouvelle recherche par commune et par date et non par patronyme. C’était aussi simple que cela… Encore fallait-il y penser !

Quant à mes arrières grands-Parents… Je suppose que Victor Emile a effectué son service militaire en Algérie comme l’atteste les registres militaires trouvés aux Archives Départementales de l’Orne.
N’ayant plus ses parents, il est demeuré dans le pays et s’est installé à Blida où il est devenu brasseur.
C’est ainsi qu’il a rencontré Marie Suzanne… qu’ils se sont mariés.

Alors, pourquoi sont-ils revenus vivre à Saint-Pierre du Regard dans l’Orne ?
Mais, ça, c’est une autre histoire… 😉

Sources : ANOM – Etat civil – Blida – 1874