#ChallengeAZ… S comme SIMON Féry…

L’été 1778 est particulièrement caniculaire dans le nord de la France, puisqu’on y a relevé une température de plus de 36° à Paris, le 5 juillet.

C’est par cette chaleur étouffante que Simon FERY, Sosa 34, épouse Marie-Françoise LAMY, le mardi 30 juin 1778 à Eppes dans l’Aisne.

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Tous deux sont nés en 1751 dans le village et ont certainement grandi ensemble, la camaraderie se transformant au fil du temps en sentiments plus intimes.

IMG_2182Hélas, la canicule est parfois annonciatrice d’orages et engendre de sombres nuages :
Marie-Françoise décède le 9 janvier 1782 laissant seuls, Simon et Jean-François, leur fils de quatre ans.
Elle a rejoint Louis Alexandre, un petit ange, né et disparu en 1781.

Simon se remariera deux fois et aura quatre autres enfants, dont mon Sosa 17, Geneviève Séraphine.

 

 

Sources :
A.D Aisne -Eppes [1776 – An V] 5 Mi0103 p. 25
Epidémies et famines en France : www.angeneasn.free.fr
Gif soleil : http://www.icone-gif.com/gif/espace/soleil-divers/natu002.gif
Image : collection personnelle

#ChallengeAZ… N comme NICOLAS-Jean Maqua…

Jadis, la maréchalerie était régie par une corporation. Le maréchal-ferrant était également l’ancêtre du vétérinaire puisque des décrets royaux datant de 1649 les autorisaient à ferrer, panser et médicamenter toutes sortes d’équidés.

Ce statut disparut à la fin du XVIIIe siècle.

Le patronyme MAQUA ou MAQUART viendrait du wallon signifiant « marteau de forge »…
Donc, rien d’étonnant à ce que Nicolas devienne maréchal ferrant comme son père Antoine.

Mardi 18 juin 1748,
Aujourd’hui, Nicolas Jean Maqua, 33 ans, originaire de Chaourse dans l’Aisne, épouse à Erlon, Marie-Jeanne CARLIER, 27 ans, Sosa 129 et veuve d’Antoine MARLY, devenant ainsi son second mari.
Ensemble, ils auront cinq enfants, Marie-Jeanne ayant déjà un fils, Jean-François Marly, Sosa 64.

Sources :
A.D Aisne : Chaourse – 5Mi0445 – 1680-1735 p.266
Histoire de la maréchalerie – musee.marechalerie.free.fr

#ChallengeAZ… H comme Marie-Roze HENIQUE…

 

« …Souviens-toi, ça parlait de la Picardie
Et des roses qu’on trouve là-bas… » 

Vendredi 10 juin 1746,
Marie-Roze HENIQUE est mon Sosa 87. Fille et petite-fille de manouvriers, elle vient au monde à Gizy dans l’Aisne et est baptisée le 12 juin dans l’église du village.

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Gizy

Pierre Vincent, son père disparaît le 5 octobre 1758 la laissant orpheline à l’âge de 12 ans. Puis, c’est au tour de sa mère, Marie-Jeanne NEUVILLE, six ans plus tard, le 7 février 1764.

Roze parmi les roses, Nicolas BONNAIRE la choisit pour épouse, le 25 mai 1773.
Ensemble, ils résident à Monceau-le-Waast, un village voisin. Ils ont au moins deux enfants, Marie-Rose (Sosa 43) et Jean-Nicolas.

Veuve depuis un an, Marie-Roze s’éteint à son domicile, le 3 novembre 1821 à l’âge de 75 ans.

 

Sources :
A.D Aisne – Gizy – 5Mi0528 [1711-1760] p.221
Image : Collection personnelle

 

#ChallengeAZ… G comme GUILLAUME Jean-Claude…

 

« La mort commence trop tôt… On ne connait rien à la vie, et la voilà déjà !
Oh ! Comprenez donc qu’il n’y a que l’amour qui compte et que nous devons nous unir en face de cette chose noire qui vient de s’installer dans notre maison » 

Tennessee WILLIAMS

Marie-Magdeleine MAFFLARD, Sosa 47, est chiffonnière et veuve depuis dix mois.
Son mari, Jean-Baptiste LAVANCIER, Sosa 46 et domestique de charrue, est décédé le lundi 4 août 1823 à Athies-sous-Laon, deux jours après avoir marié leur fille, Marie-Louise, Sosa 23, âgée de 18 ans.

Miséreuse, Marie-Magdeleine n’a qu’un recours, celui de se remarier.

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Mardi 8 juin 1824,
Alors, aujourd’hui, à 44 ans, elle se rend à la mairie d’Aubigny-sous-Laon pour épouser Jean-Claude GUILLAUME, un manouvrier de 55 ans, deux fois veuf et qui a inhumé sa dernière épouse, Elisabeth DELOISY, le 22 avril dernier.

 

Sources :
A.D Aisne -Aubigny-en-Lannois – 5MI0329 [1818-1836] p.72
Image : Gallica.fr

 



 

#ChallengeAZ… E comme Marie-Anne d’EPERNAY…

Mercredi 23 juin 1700,
Un village picard, Gercy… Une rivière, la Vilpion… Et de-ci, de-là, quelques moulins à eau…

C’est dans ce décor champêtre que Marie DELASÜE met au monde une fille prénommée Marie-Anne. Elle est la petite sœur de Pierre (Sosa 134).
Leur père, Jacques, est meunier et Pierre le deviendra également.

Marie-Anne est portée sur les fonds baptismaux le 24 juin, en présence de Jacques et de ses parrain et marraine, Jean CACHEU et Marie d’EPERNAY, sa sœur ainée.

Marie & Jacques décèdent respectivement en 1712 et 1715 laissant Marie-Anne orpheline.

Qu’est’il advenu de la fillette ? Je l’ignore car je n’ai trouvé aucun acte la concernant dans les registres paroissiaux de Gercy.

 

Source :
A.D Aisne – Gercy [1669-1714] 5Mi0788 – p.158

 

#ChallengeAZ… D comme Jeanne DUQUESNOY…

 

Beau mois de juin, change l’herbe en bon foin

Lundi 1er juin 1722,
A Erlon, petit village picard, le printemps tire sa révérence.

Aujourd’hui, on fête St-Probas et le soleil brillera huit minutes de plus. Bientôt, il entrera dans le signe de l’Écrevisse et la liesse populaire célébrera le solstice d’été.

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Jalouse, la lune se vengera en s’éclipsant totalement dans la nuit du 19 juin à minuit quinze, précisément.

Mais, Jeanne DUQUESNOY première épouse d’Antoine Marly, Sosa 128, avec qui elle a eu deux enfants : Louise et Frédéric, ne verra point cela.

Elle est décédée, ce jour, à 37 ans et a été inhumée dans le cimetière du village.

 

 

Sources :
Dicton : saint-dicton.com
GALLICA – BNF : Almanach Royal pour l’Année MDCCXXII –
Image : Symbole du signe zodiacal du Cancer – Wikipédia.org
A.D Aisne : Erlon [1685-1722] 5Mi0493 – p.264

 

 

#ChallengeAZ… C comme Etienne COULON…

En 1810, l’Abbaye Saint-Martin de Laon fut transformée en Hôtel-Dieu pour y accueillir malades, indigents, aliénés, vieillards et orphelins.

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Au 19e siècle, l’hôpital n’était guère un lieu accueillant :
Les salles communes favorisaient la propagation des miasmes ; les lits étaient alignés sur deux rangées qui se regardaient ; les malades n’avaient pour intimité que la couche où ils étaient allongés.

Samedi 11 juin 1842,
Etienne COULON, Sosa 36, veuf et âgé de 76 ans,  y est décédé ce jour à 11 heures du soir.
De son vivant, Etienne était tisserand et résidait à Beaulne-Chivy.
Veuf de Marie-Françoise PORTELETTE et père de trois enfants, il épousa en secondes noces, Marie-Elisabeth COMPIN.


Image : Collection personnelle
A.D Aisne : Laon – 1842 – 5Mi0081 – p.214

Les BONNAIRE, une famille de clercs laïcs…

Actuellement, je complète ma liste d’ascendants et je souhaite vous conter la vie de mon Sosa 172, Etienne BONNAIRE, honorable aïeul à la huitième génération et découvert depuis peu.

Le royaume de Louis XIV est appauvri par les guerres. Le climat est désastreux et la misère sévit.
Cependant, Etienne BONNAIRE, fils de Pierre et de Jacqueline POISSON naît et est baptisé le dimanche 22 janvier 1702 à Monceau-le-Waast, petit village picard.

En 1725, âgé de 23 ans, il épouse le mardi 15 mai, Nicole LOBJOIS, une demoiselle de 22 ans.
Quelques temps plus tard, le 5 septembre, le pays célèbre l’union de Louis XV avec Marie Leszczynska au Château de Fontainebleau.

Etienne et Nicole ont trois enfants :
– Jean-Pierre °1726
– Marie-Françoise °1728
– Estienne ° 6 mars 1730
Malheureusement, Nicole décède probablement des suites de son accouchement et est inhumée le même jour, mercredi 8 mars 1730.

Chez nos ancêtres, la période de deuil dure peu. Un veuf ne peut rester seul avec des enfants à charge.
C’est ainsi que le lundi 22 mai, Etienne se remarie avec Marguerite BALOSSIER, une jeune fille de 19 ans.
De leur union naissent onze enfants :
– Célestin °1732
– Marguerite °1733
– Estienne °1734
– Jean-Marie °1736
– Marie-Anne °1738 +1740 à 16 mois
– Marie-Thérèse ° 1742 +1742 à 9 jours
Nicolas °1744 +1820 – Sosa 86
– Jean-Antoine °1746
– Marie-Catherine °1748 +1751 à 3 ans et 6 mois
– Jean-Baptiste °1750 +1751 à 18 mois
Les deux enfants décèdent à quelques jours d’intervalles en décembre (image en-tête de l’article)
– Jean-Louis °1753

Voici un condensé de la vie privée d’Etienne qui a fondé une grande famille.

Côté professionnel, Etienne est clerc laïc.
Quel est le rôle d’un clerc laïc au XVIIIe siècle ?

J’ai trouvé, sur Gallica BNF, un texte qui explique ce qu’était la vie d’un clerc laïc.
Il explique comment est élu et quelles sont les fonctions exactes d’un clerc laïc dans un village de Picardie en 1785.
On imagine aisément qu’Etienne vit vraisemblablement la même chose.
Outre le choix de la personne, on peut lire les règles auxquelles doit se soumettre un clerc laïc et le cérémonial autour de la prise de sa fonction ainsi que, très intéressant, les émoluments qu’il perçoit :

En résumé, Etienne sait lire et écrire ; il est également chantre, sonneur, maître d’école… magister confirmé dans l’acte de naissance de sa fille, Marie Catherine

Il peut également ondoyer un nouveau-né en cas de danger imminent de mort à la naissance comme l’indique l’acte ci-dessous :

De plus, il a une connaissance de la liturgie et du latin. Pieux, il est d’une moralité exemplaire et soumis au curé. Enfin, il est rémunéré par les paroissiens.

Au début de 1772, des explorateurs découvrent des terres australes. Etienne ne tarde pas à rejoindre le royaume céleste. Agé de 70 ans, il s’éteint le 21 septembre. Il est inhumé le lendemain en présence de ses enfants dont cinq sont également « clerc laïc » comme le confirment leur signature et le lieu de leur charge (communes surlignées en vert sur la carte de Cassini) :
– Etienne, clerc à Pierpont,
– Jean-Antoine, clerc de la paroisse Sainte-Benoîte à Laon,
– Nicolas, mon Sosa 86, clerc à Monceau-le-Waast qui a remplacé son père,
– Jean-Louis, clerc de la paroisse St-Marcel, faubourg de Laon,
– Jean-Pierre, clerc à Verneuil S/Serre :

Hormis les cinq garçons nommés ci-dessus, tous les enfants vivants d’Etienne signent les actes paroissiaux… et on peut penser qu’ils savent aussi lire et écrire… mais rien d’étonnant avec un père… maître d’école !

La charge d’un clerc laïc en Picardie a certaines similitudes avec celles d’une Béate en Auvergne.
Comme pour cette dernière, la fonction de maître d’école a disparu avec la création des écoles normales sous Jules FERRY.

Sources :
GALLICA-BNF : Bulletin de la Société des antiquaires de Picardie : Choix et nomination d’un maître d’école et clerc laïc dans un village au XVIIIe siècle (Le Souich, Picardie et Artois) 1785
CONTEXTE – Thierry SABOT
Actes paroissiaux : A.D Aisne – 2MI0491 [1676-1775]
Carte de Cassini – Géo Portail 

Beaulne-Chivy & Verneuil-Courtonne, villages disparus…

Il est indéniable que la Généalogie et l’Histoire sont intimement liées. Je le vérifie chaque fois lors de mes recherches.

Ainsi, André Coulon, Sosa 18, est né le 10 frimaire An 14 (1er décembre 1805) à Beaulne-Chivy dans l’Aisne. Il est tisserand.
En 1826, il épouse en premières noces, Augustine DeBacq, originaire d’une commune voisine : Verneuil-Courtonne.
Le 5 août 1829, Augustine met au monde une petite Marie Andrine.
Mais, Augustine décède le 12 septembre 1829 probablement des suites de son accouchement et le bébé rejoint sa mère le lendemain 13 septembre.

Pas le temps pour André de pleurer sur son sort, il épouse en secondes noces, Ursule Adélaïde Brasselet, Sosa 19, le 27 octobre 1829 à Braye-en-Laonnois, soit 45 jours après le décès d’Augustine.

L’histoire est banale et pourrait s’arrêter là, mais…

Il existe dans le département de l’Aisne de nombreuses monographies de village rédigées par les instituteurs au cours du 19ème siècle.
Et lorsque je découvre de nouveaux lieux, je cherche systématiquement la monographie concernée. Mais, je n’ai rien trouvé concernant Beaulne-Chivy et Verneuil-Courtonne.

Et pour cause, situés sur le Chemin des Dames, ces villages sont entièrement détruits, éradiqués… lors de la Première Guerre Mondiale.

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Après la Révolution Française, la première commune est créée par la fusion de deux villages, Beaulne et Chivy .
En 1806, elle compte 212 habitants et environ 250 en 1914.
A la fin de la Première Guerre Mondiale, le village n’est pas reconstruit. Le décret du 9 septembre 1923 rattache son territoire à celui de Vendresse-et-Troyon et leur fusion donne Vendresse-Beaulne.

Avant 1914, Moussy-sur-Aisne et Verneuil-Courtonne appartiennent à la même paroisse mais forment deux communes distinctes depuis la Révolution.
Ces deux villages comptent quelques 330 habitants en 1825.
Entièrement détruits lors des combats, Moussy-sur-Aisne et Verneuil-Courtonne fusionnent en 1923 et sont rebâtis pour devenir Moussy-Verneuil.

Comme les militaires, les civils ont souffert et subi de nombreux préjudices lors et à cause des affrontements !

Et vous, avez-vous trouvé des villages ancestraux confrontés à l’Histoire?

 

 

 

Sources : Wikipédia et dictionnaireduchemindesdames.blogspot.fr
Image : Chemin des Dames, le portail : www.chemindesdames.fr

 

 

 

#Généathème : Vous avez dit FERAND ou FERY… L’énigme est résolue !

Dans l’article précédent, je vous faisais part de mes doutes concernant l’ascendance de mon Sosa 34, Simon FERY, dont le père Gérard est dit FERAND, puis FERY. A lire ici

Suite à vos messages sur le blog ou sur les réseaux sociaux, ce dont je vous remercie, j’ai repris la lecture des registres paroissiaux d’Eppes dans l’Aisne.
Et, après avoir comparé les différentes signatures de Gérard et de Simon, j’ai acquis la certitude, mais non sans mal, que les FERY se nommaient FERAND, FERANT, FERAIN avant 1778, année où le patronyme a changé.
Mes recherches historiques n’expliquent pas ce changement d’orthographe et cela restera une énigme !

Mais revenons à mon analyse :
En feuilletant les registres, j’ai trouvé un acte de baptême daté du 24 avril 1748 concernant une fillette nommée Marie-Françoise Bride.
Gérard, jeune garçon, est le parrain et signe l’acte FERANT (avec un T final) ; Marie-Françoise Bride, jeune fille, visiblement parente avec la nouvelle née, est la marraine et ne sait pas signer.

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Leur nouveau statut rapproche Gérard et Marie-Françoise puisqu’ils se marient le 26 janvier 1751. Gérard signe l’acte FERAND (avec un D final)

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Le 10 décembre de la même année, nait Simon, mon Sosa 34. Gérard signe l’acte FERAND.

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Les années passent et le 9 mai 1780, se marie Antoine, autre fils de Gérard et de Marie-Françoise avec Marie-Angélique Wattier.
Gérard et Simon, désignés le père et le frère de l’époux, signent l’acte FERY.
L’oncle, Louis BRIDE, est aussi présent et signe également.

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Je note que sur les quatre actes, Gérard puis Simon signent de leur prénom et de  leur nom d’où mon scepticisme concernant l’acte de mariage de Simon en 1787 où n’apparait que leur patronyme.

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Et finalement, j’ai vérifié  la signature de Simon sur l’acte de naissance de Geneviève Séraphine, sa fille (mon Sosa 17), ce que j’avais omis… Honte à moi !

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La forme des lettres est identique : G de Gérard, M de Simon… Pas de doute, les signatures sont identiques.

Il suffit de lire les actes attentivement pour résoudre certaines énigmes et extraire les épines de nos arbres.

Cependant, mes recherches ont soulevé une autre interrogation :
En 1787, lors du mariage de Simon, l’acte indique qu’il est veuf de Marie-Françoise BOTTIER.
Je n’ai trouvé ni l’acte de mariage, ni l’acte de décès concernant Marie-Françoise BOTTIER.
Par contre, j’ai découvert un acte de mariage avec une Marie-Françoise LAMY, le 30 juin 1778 et l’acte de décès de cette Marie-Françoise, le 9 janvier 1782 que Gérard, son beau-père a signé.
Puis-je considérer qu’il s’agit d’une erreur de transcription de la part du curé ?

Depuis la parution de cet article, plusieurs généanautes dont @Cetetelle sur Twitter, Guylou Noute et Fofi Fonfec sur Facebook m’ont apporté une aide précieuse notamment en retrouvant l’acte de mariage de Simon avec Françoise BOTTIER.

Voilà une épine extraite et une énigme résolue, mon ancêtre s’appelle FERAND ou FERY et s’est marié trois fois :
– le 30 juin 1778 avec Marie-Françoise LAMY à Eppes.
– le 9 avril 1782 avec Françoise BOTTIER à Bruyères-et-Montbérault. 
– le 31 décembre 1787 avec Marie Elisabeth COCHET, mon Sosa 35 à Eppes.

L’entraide généalogique n’est pas un vain mot. Vous êtes formidables ! Merci!

 

 

Sources : A.D Aisne – Registres paroissiaux Eppes – 5Mi0102 (1736-1775)